dimanche 28 décembre 2008

Cailles aux choux




Ce n’est pas vraiment une recette, mais plutôt un essai réussi. En faisant mes courses, j’avais choisi 6 belles cailles pour le repas du dimanche, mais mes invités se sont décommandés. J’ai donc cuit mes 6 cailles au four puis j’en ai congelé 4 pour voir !!!

Je me suis servie ici d’un tajine pour faire joli à la présentation, mais une cocotte saveur donnerait le même résultat et la cuisson serait plus rapide

Enlever largement le trognon d’½ choux frisé, le débiter en lamelles ainsi que 2 oignons. Huiler le fond du tajine d’ 1 c. à café huile d’olive (facultatif). Disposer la couche d’oignons, recouvrir des lamelles de chou, assaisonner : sel, poivre, et une pincée de cumin (c’est l’idéal avec le chou, mais on peut le remplacer par du thym ), parsemer d’une poignée de raisins secs et arroser d’un petit verre d’eau additionné de bouillon cube.

Fermer
la tajine et faire cuire au four th 6/180° pendant 30 mn, puis mélanger le chou pour homogénéiser le goût, refermer et poursuivre la cuisson 30 mn. Ajouter ensuite les cailles cuites et congelées (et des pommes de terres cuites à la vapeur pour les personnes "non régime") par-dessus et poursuivre la cuisson à couvert pendant 15 mn, découvrir maintenant, pour que les cailles redeviennent bien dorées et ré-enfourner pour les 15 dernières minutes.

C’est un peu long comme cuisson 1h30 mais sans difficultés et idéal pour les jours surchargés ou quand on n’a guère d’idées.

N’oublier d’accompagner d’un peu de riz pour vous, car sinon le chou ne tiendrait pas vraiment "au corps" jusque 16H, vous pouvez mélanger un peu de crème allégée dans la tajine avant de servir, si vous voulez que ce soit plus onctueux.

Comme toujours, A vous de voir.

jeudi 25 décembre 2008

Bonne année / Bonne santé


A toutes mes nouvelles lectrices, puisque nous prenons quelques bonnes résolutions au début de l’année, pourquoi ne pas ajouter celles-ci :

* petit déjeuner : jamais ne sauterai
* déjeuner.......: 2 c.à s./ de riz mes légumes accompagnerai
* goûter..........: des fruits prendrai
* souper.........: j’allégerai
* sucre...........: je bannirai
* gras.............: souvent m’en passerai.

Vous connaissez certainement ces principes, j’essaie toujours de les garder en mémoire. J’ai ainsi perdu 25 kg en douceur et sans souffrir de la faim et je reste à mon poids, mais même si maintenant je me permet "des écarts", c’est ma balance qui est mon meilleur juge, avec elle on ne triche pas. Je suis comme beaucoup une alimentation non surveillée m’est interdite, sous peine de tout reprendre et même un petit bonus en plus.

Pourtant, je rassure celles qui n’en ont pas l’habitude, quand on fait le choix de bannir le sucre de son alimentation, et de surveiller les Index Glycémiques des aliments (voir la liste Montignac ou autre) on évite les pics d’insuline et ainsi on régule la faim.

Mes recettes, c’est ma façon de prouver que faire de la bonne cuisine sans gras (ou un minimum) ni sucre c’est possible, et que je ne me sers pas que de mon cuit-vapeur, même si c'est un fidèle compagnon depuis mes débuts.

Si vous essayez sachez que le corps s’habitue, que les goûts changent, et que votre palais reconnaît mieux les autres saveurs et même qu’il les apprécie. Un bon régime c’est celui qui vous va dit-on, je préfère dire : une bonne alimentation c’est celle qui vous convient, et si vous ne pouvez vous passez "d’écart" gérez-les.

Comme toujours, A vous de voir.

Bonnes Fêtes


Merci de tous vos encouragements, après 1 mois de coupure de ligne involontaire, je viens de lire tous vos messages et c’est une marque d’intérêt qui me touche beaucoup.

Je suis très heureuse de partager mes recettes avec vous, cette façon de m’alimenter et devenue une habitude, et si je compte "le sucre et le gras" je ne compte jamais mon plaisir. Dommage, on ne trouve plus de graisse d’oie ou de canard!!!, c’était pourtant parfait.

La prochaine recette sera un gâteau, et oui!!!, la bûchette de Noël pourtant achetée chez un bon pâtissier était très décevante, quand on fait un écart il faut pour le moins en retirer du plaisir, alors maintenant que je vous ai mis l’eau à la bouche :

Je vous souhaite de passer de très Bonnes Fêtes, et en 2009 nous serons raisonnables.

Amitiés, Colette

Groupes Sanguins et Régimes


Je viens de lire le livre du Dr P. J. D’Adamo : 4 groupes sanguins / 4 régimes, pour ma part, je l’ai trouvé très intéressant. Peut-être aurez vous l’occasion d’en faire autant.

J’ai d’abord fait un rapprochement avec ma façon de m’alimenter et puisqu’il cite les aliments recommandés pour 4 groupes sanguins, j’ai fait les mêmes rapprochements avec mes amies, quand elles sont de groupes sanguins différents du mien.

Je ne dirais pas que ce livre est un impératif, l’auteur recommande lui-même de :

- Procéder par étapes, en éliminant petit à petit les aliments "mauvais pour vous" et en augmentant la part de ceux qui vous sont "très bénéfiques",

- Ne pas se contenter de croire ce qu’il affirme, mais de ressentir dans son corps la justesse de ses conseils,

- Sachez que si vous êtes de groupes sanguins différents autour de la table, en général les 2/3 du repas peuvent être partagés, (mais si vous avez des problèmes de poids n’est-ce pas déjà le cas?)

- La rigidité étant l’ennemi du plaisir, rien ne vous empêche de vous en écarter à l’occasion d’un dîner où vous êtes invités.

Je comprend mieux maintenant : pourquoi "tel" complément, pourtant très bénéfique à mon amie, n’agissait absolument pas sur moi. Pourquoi, je n’ai jamais été attiré par le jus d’orange le matin, alors que tout le monde le considère comme un apport de vitamine C indispensable, etc…

N’étant apparemment pas allergique au gluten, je n’avais jamais remarqué qu’il servait souvent d’anti-agglomérant et qu’en y regardant de plus près on le retrouvait même là ! où on ne l’attend pas du tout. (dans des cachets effervescents) Ce qui fait que l’on en consomme beaucoup + que l’on croit.

J’ai fait un essai, non pas pour maigrir mais pour être en meilleure forme physique. Ayant déjà une alimentation bien équilibrée, je ne pensais pas faire de grosses erreurs, pourtant quelques changements m’ont apportés une légèreté de digestion et un petit regain d’énergie appréciable.

Comme toujours, A vous de voir.

Poussiéreux mon ordinateur ???


Mon ordi portable n’est jamais rangé dans sa mallette, et pour cause : je m’en sers. De préférence installée dans mon canapé, j’ai même acheté une table d’appoint, ainsi mon dos ne me reproche plus le temps passé avec lui.

Oh surprise ! Il s’est éteint trois fois de suite dans la journée. Il ose me lâcher alors qu’il n’est même pas "vieux", juste 6 mois après la fin de garantie évidemment.

Donc retour au magasin, ouf ! j’ai échappé au 36 euros de dépôt mais il me le garde 10 jours : là c’est dur…

Appel téléphonique du réparateur 4 jours plus tard : il n’a rien, la ventilation s’effectue mal car il est poussiéreux… Il s’éteint donc par mesure de précaution.

4 jours plus tard, pour cause de week-end prolongé, je suis revenue avec mon ordinateur et sur les conseils du vendeur : munie également d’une bombe d’air comprimé, car maintenant je lui ferai sa petite toilette.

Un petit souffle d’air comprimé dans les ventilations : puisque je n’ai pas l’intention de la laisser dans sa mallette. Si vous n’êtes pas convaincus, moi je le suis : 1 bombe d’air comprimé à 11 euros contre une révision à 72 euros, Bon à savoir !!!

Comme toujours. A vous de voir.

mardi 28 octobre 2008

Les huiles "bio"



J’ai assisté à une conférence sur les huiles "bio",comme beaucoup je ne connaissais pas vraiment la différence entre les bio et les autres, et j’avais été très surprise par la différence de goût.

##-Suivant les conseils du garagiste : nous n'hésitons pas à choisir des huiles de bonnes qualités pour nos voitures, afin d'avoir "un meilleur rendement", mais peu de personne font l'effort d’utiliser des huiles "bio" pour leur alimentation, et pourtant notre corps est la plus belle des mécaniques.

Pourquoi les différentes huiles "bio" gardent-elles leurs propriétés : oméga 3, 6 ou 9,vitamines E, antioxydants, parce qu'elles sont "pression à froid". La chaleur excessive et les différents procédés pour décolorer et neutraliser le goût ensuite, détruisant en grande partie ces propriétés.

Sans compter que les huiles "bio" ayant beaucoup + de goût, il faut en mettre moins (cela aide à conserver des proportions raisonnables : 2 c.à soupe/jour), mais les conserver au frigo car celles-ci ne se conservent pas deux ans une fois ouvertes, puisque qu’elles sont sans conservateur ni additif.(quand elles sont "rancies" elles n’ont plus d’antioxydants).

L’huile d’olive peut restée dans un placard à l’abri de l’air, car les oméga 6 ont tendance à figer au froid. Elle a l’avantage de résistait à la chaleur et si elle est vierge et première pression à froid, même non "bio", c’est déjà bien.##

Cette conférence était très intéressante, pour ma part, j'adopterai le principe de : 60 % oméga 3 (colza) / 40 % oméga 6 (olive) et vinaigre de cidre (bio), et de temps en temps une petite bouteille d’autres pour essayer : germe de blé, sésame, carthame, etc...

(Une à la fois, car j’en ai dénombré une bonne dizaine, pas de quoi se lasser. Certaines peuvent aussi se mettre sur la peau, si vous n‘aimez pas le goût, voir : simple comme une goutte d‘huile).

Une information s’échange entre amis mais comme toujours,
A vous de voir.

Cocotte de volaille aux olives noires


§§§§§§

Je suis partie d’une recette de "petite-cocotte", mais comme elle comportait beaucoup d’ingrédients à IG élevés, je l’ai allégée le plus possible. N’hésiter pas à la prendre comme base pour étonner votre famille, elle est simple, rapide et pas chère. Vous aurez autant de succès avec des escalopes de dindes, des blancs de poulet ou des suprêmes de pintades.

Découper les 4 escalopes en lanières de la grosseur d’un doigt, éplucher et émincer : 2 oignons, 400 gr de champignons de paris et + ou - 1 bouquet de persil (quantité suivant votre goût), couper 10 olives noires en deux.

Faire chauffer une cuillère à soupe d’huile d’olive dans un wook (ou une sauteuse) et y faire revenir les lanières de viande et 100 gr de lardons fumés, dès que le viande commence à "prendre couleur" incorporer les oignons émincés pour les faire dorer également. Ajouter ensuite les champignons émincés en une seule fois sur le dessus, arroser d’un léger filet d’huile d’olive et les mélanger, poursuivre jusqu’à ce que toute la préparation soit agréablement revenue.
Assaisonner : sel, poivre, ajouter une pointe de "4 épices" (ou toute autre épice que vous appréciez), ajouter les olives noires ainsi que le persil, allonger à l’aide ¼ de litre d’eau dans lequel vous aurez fait fondre 1 cube de court-bouillon, Mettre cette préparation dans la cocotte-saveur, couvrir et faire cuire au four 30 minutes th. 6 (180°). Ajouter 4 c. à soupe de crème allégée (un peu de liquide si besoin) et servir ou laisser dans le four éteint en attente puis réchauffer doucement avant de servir accompagner d’une couronne de riz basmati.

Si vous êtes pressés, il est possible de faire la cuisson entièrement dans le wook à couvert, mais il faut alors surveiller la sauce et n’ajouter la crème allégée qu’au moment de servir.

L’emploi dans mes recettes de court-bouillon surgelé me permet de moins saler mes préparations et de ne pas mettre vin.(il est sans exhausteur de goût carotte/oignons/thym/persil/céleri/laurier).
Comme toujours.A vous de voir.

jeudi 16 octobre 2008

Soupe de betteraves rouges

Cette année, j’ai essayé de faire pousser des betteraves rouges, je les aime beaucoup crues râpées en salade. Malheureusement, j’ai pris plus de plaisir à faire mes petits plants et à les voir pousser, (ils avaient tous pris) qu’à les dégustées crues.

Une sur deux n’était pas assez tendre. J’en ai d’abord fait du jus : c’est excellent pour la santé, puis j’ai recherché une recette compatible avec mon alimentation. Attention cependant car la betterave rouge change d’index glycémique en cuisant, il faut donc respecter les associations.

1ère méthode : Mettre dans l’auto-cuiseur 1 ½ litre d’eau et 4 cubes de court-bouillon surgelés(ou ce que vous employez). Éplucher 2 ou 3 betteraves crues(suivant leur grosseur), les couper en morceaux et les inclure dans la cocotte, ajouter 4 poignées de riz complet (env. 100 gr), faire cuire 30 minutes à feu doux après le 1er chuchotement du sifflet. Après cuisson, ouvrir la cocotte : inclure 2 ou 3 pommes vertes "granny" coupées en morceaux (soigneusement lavées mais avec leur peau) et environ ½ à 1 c. à café de gingembre frais moulu (c’est juste pour relever par son goût citronné , il vaut mieux procéder par touches successives). Mixer le tout, assaisonner si besoin, et servir tiède ou réchauffer suivant votre envie, ajouter un peu de crème allégée dans l’assiette pour l’onctuosité.

2 ème méthode : recette rapide, pour un dimanche soir par exemple. Faire réchauffer 1 bol de riz complet dans ½ litre de bouillon (maison si possible et préalablement dégraissé), y inclure 1 ou 2 betteraves rouges cuites et 1 ou 2 pommes vertes "granny" en morceaux, mixer le tout puis ajouter ½ à 1 jus de citron ou du gingembre(par touches successives). Ajouter du bouillon suivant la consistance souhaitée et la quantité des ingrédients employés, assaisonner si besoin.

Cette soupe rouge onctueuse plait beaucoup aux enfants, réchauffée la pomme verte s’adoucie. Excellente façon de leurs faire apprécier la soupe.
Comme toujours, A vous de voir.

Soupe de tomates au quinoa



C’est la saison des soupes qui recommence, personnellement, j’ai adopté la soupe épaisse comme principal élément de mon repas du soir, au moins plusieurs fois par semaine. C’est un moyen rapide de réguler sa faim et de se réconforter après la fatigue de la journée, je fais une quantité de soupe pour 4 repas, et je congèle les 3 autres. Ainsi en faisant des soupes de couleur et de goût différents, il est très facile de ne pas manger la même deux fois de suite.

Le quinoa ou riz du Pérou, est considéré comme une pseudo-céréale, il est très digeste, sans gluten, pauvre en lipide, mais riche en fer alimentaire et en protéine. Il contient également tous les acides aminés essentiels à une bonne alimentation. Il paraît donc tout indiqué de l’intégrer pour diversifier la nôtre.

Dans un wook (ou autre), faire blondir 3 oignons émincés avec 1 c. à soupe d’huile d’olive, quand les oignons sont colorés ajouter 1 kg (ou +) de tomates coupées en morceaux. Mélanger, en poursuivant la cuisson, jusqu’à ce que les tomates rendent un peu "leur eau" , rincer env. 50 gr de quinoa (cela lui enlève son amertume) et l’ajouter en remuant jusqu’à ce qu’il baigne dans le jus des tomates. Assaisonner et ajouter du basilic (attention : si vous l’utilisez en l’huile essentielle 1 demi goutte suffira, procéder par petites touches avec la pointe d’un couteau, pour ne pas masquer toutes les autres saveurs). Faire cuire doucement 20 mn puis mixer finement, de cette façon vous obtenez une soupe épaisse et pleine de goût pour 2 personnes, mais cette soupe peut-être allongée si vous préférez une consistance plus fluide.
Simple, rapide et pas cher. Comme toujours, A vous de voir.

dimanche 28 septembre 2008

Simple comme une allumette


Je ne sais pas si vous connaissez le petit truc de l’allumette pour ne plus pleurer en épluchant les oignons. Je l’ai entendu à la télé : je l’ai essayé et très vite adopté.

Je cuisine beaucoup d’oignons : étant de la famille des liliacées : ils apportent des éléments indispensables à une bonne santé (Fibres, Calcium, Magnésium, Potassium , Fer, Vitamines : B1, B3, B6, B9, C, E) et c’est une excellente base de sauce "sans matière grasse" . Ils "sucrent" à la cuisson et se marient avec un très grand nombre de préparations.

Tenir le bout neutre de l’allumette entre le dents, le bout de souffre à l’extérieur : c’est le souffre de celui-ci qui annule l’effet « irritant » des oignons. Vous pouvez alors les éplucher et les couper en tranches sans verser un torrent de larmes, bien qu’il y aura toujours des oignons qui "piquent" tellement qu’aucun truc ne marche.

Bien plus pratique que d’éplucher les oignons sous l’eau ou dans un sachet plastique!

Comme toujours, A vous de voir.

mardi 23 septembre 2008

Tomates poires



L’année passée, j’ai récupéré et fait sécher quelques grains de tomates poires dans l’intention de faire mes plants. J’avais prévu d’en faire pousser quelques uns pour les vacances de mes petits enfants. Toutes mes graines ont poussées, et je me suis retrouvée avec 15 petits plants, devant le nombre, je les ai installés le long d’un grillage, et j’ai eu une jolie haie décorée. Mais elles n’ont pas vraiment mûries à temps pour les vacances, l’espèce est un peu tardive pour la région.

Qu’à cela ne tienne, j’ai maintenant plein des tomates pour faire des confitures. Si la tomate poire est un peu farineuse crue, une fois cuite c’est un avantage. Pour une jolie confiture, j’ai mélangé des tomates cerises. J’en laisserai un maximum entières

Les plus vertes serviront à faire de la confiture tomates vertes/oranges, mais celle-ci je la passerai. La tomate poire donne une récolte assez abondante, et ne demande pas d’entretien.
Comme toujours, A vous de voir.

Confiture de cynorrhodons



Vous la trouverez aussi sous le nom d’églantine. J’ai entendu dire qu’elle est pleine de vitamines C. Comme cette année, chez nous il n’y a pas eu beaucoup de fruits, j’ai décidé de l’essayer. C’est très long à récolter, l’églantier se "défend" bien, il est plein de grosses épines, j’ai fini pas couper les branches pour terminer ma récolte.

Dans de nombreuses recettes, on conseille de faire cuire à l’eau, les cynorrhodons entiers, avant de les écraser au presse-purée, c’est ainsi que j’ai procédé : très peu pratique et très long. J’ai voulu finir avec l’extracteur de jus : je l’ai cassé, les grains des cynorrhodons ne cuisent pas, ils sont durs comme du bois, et ce ne sont pas les poils qui sont le plus à craindre, comme je le pensais au début mais bien les grains!!!


Une seule recette conseillait de les ouvrir en deux et de les vider avant de les faire cuire, je crois que c’était la bonne méthode finalement ! Si vous avez : du temps et de la patience, je vous la recommande.

Puisqu’il faut enlever le pédoncule et le bout noir à chaque cynorrhodon, autant le couper en deux et l’évider à ce moment là. Ce n’est pas facile, pour cela, il vaut mieux les récolter lorsqu’ils sont bien rouges et avant les premières gelées, mais si vous procéder ainsi vous ne passerez pas plus de temps finalement qu’à essayer de récupérer la pulpe cuite avec les graines.

Cette confiture a un goût agréable, qui ressemble à celui de la confiture de tomates cerises bien mûres, et peu de sucre lui suffit, il faut juste beaucoup de patiente et de courage avant de la déguster.

Comme toujours, A vous de voir.

mercredi 27 août 2008

Cuisse de dinde au pâtisson


Des pâtissons cette année, c’est ce qui pousse le mieux dans mon jardin ! J’ai essayé toutes les cuissons allégées possibles mais c’est la cuisson mijoter qui rend le mieux hommage à son petit goût d’artichaut.

La manière la plus simple est de laver votre pâtisson et de le débiter en parts comme un melon (ensuite elles sont faciles à épépiner et à éplucher ), couper en petits morceaux.

Mettre un filet d’huile d’olive dans le cocotte saveur, disposer une couche des morceaux de pâtisson, saler, poivrer, et parsemer de marjolaine (si possible ou de thym si vous n’en avez pas). Éplucher et couper 2 ou 3 oignons en fines tranches et disposer une mince couche par-dessus le pâtisson.

Assaisonner le dessus de la cuisse de dinde avec du mélange pour poulet rôti (si vous aimez ou une autre épice de votre choix) la disposer sur les oignons avec quelques petites tomates entières autour (facultatif).

Mettre le couvercle est cuire au four de 45 minutes à 1 heure th.6, (suivant la grosseur de la cuisse ou si elle est congelée).

Ce plat gagne a être préparé à l’avance et doucement réchauffé au four, ainsi le pâtisson est confit dans son jus avec les aromates. Comme toujours, A vous de voir.

mardi 19 août 2008

Courgette spaghetti



Cela fait 2 ou 3 ans que j’en entend parler sans les avoir jamais vu autrement qu‘en photo, mais cette année j’ai trouvé des petits plants à repiquer chez un pépiniériste et je me suis lancée.

Le plus difficile était de trouver la façon de la pré-cuire, car pour moi plonger une courge dans l’eau, ce n’est vraiment pas le meilleur moyen pour la déguster. J’ai donc choisi une méthode douce afin de lui conserver le maximum de minéraux et de goût.

Laver la courgette sous l’eau courante, (à l’aide d’une brosse à légumes si nécessaire). Mettre ¼ de litre d’eau dans l’auto-cuiseur avec un petit cube de court bouillon (ou autre) et du sel, placer ensuite le panier à légumes (le liquide devant juste affleurer le panier), y déposer votre courgette entière et la faire cuire 15 à 20 minutes, en baissant le feu après le premier chuchotement du sifflet (suivant la grosseur), elle sera ainsi cuite à la vapeur douce.

Dans un wook ou une sauteuse, faire une sauce tomate au basilic (c’est l’été et j’en profite souvent pour récupérer la pulpe des tomates vidées pour d’une entrée froide), mais celle-ci existe aussi en boîte (400gr). La peau de cette courgette cuite se détachant d’elle-même, la prélever et racler l'intérieur à l'aide d'une cuillère, inclure ensuite la pulpe verte recueillie dans la sauce tomate, (elle ajoute son goût et son velouté à la sauce).

Ouvrir
maintenant votre courgette en deux dans sa longueur, à laide d’une cuillère ôter les graines du milieu, ensuite avec une fourchette émietter délicatement la chair petit à petit, elle se sépare d’elle-même en petits spaghetti.

Mélanger ceux-ci avec la sauce tomate pour réchauffer votre préparation, recouvrir ensuite de gruyère râpé (suivant votre goût), poser un couvercle sur le wook en attendant de servir, le gruyère sera ainsi juste fondu.

C’est doux et original, quand vous l’aimez, une consistance un peu croquante des spaghetti végétals (15 mn) est un atout pour cette recette, choisissez là. Il est inutile de prendre des courgettes énormes (attention à la contenance de votre cocotte-minute), elles rendent copieusement mais c’est aussi un plat qui se mange agréablement légèrement réchauffé.

En plat unique : ma voisine l’a précuite et incluse en morceaux dans une bolognaise, en mélangeant les spaghetti se détachent seuls.
Comme toujours, A vous de voir.

mercredi 13 août 2008

Pois chiches aux épices



C’est le moment de congeler votre trop plein de légumes, cela demande de la préparation, mijoter des féculents simultanément est un gain de temps appréciable. Si vous avez différent légumes sous la main pourquoi ne pas conserver un peu de chaque (les entames par exemple ou les petits morceaux) et jouer la carte des épices. Il suffit de penser à faire tremper les pois chiches la veille (au frigo), ils se marient à merveille avec tous les légumes de saison et ne se consomment pas que l’hiver.

Faire chauffer un filet d’huile d’olive dans la cocotte et y faire revenir doucement les légumes : les oignons, le couvercle du pâtisson, les entames de chou rave et des courgettes (épluchés et coupés en morceaux), les tomates, etc., mélanger et ajouter les pois chiches, assaisonner d’ ½ c. à café de chaque : curcuma, cumin, baies variées, baies de coriandre, saler et poivrer à votre goût, mouiller d’un verre d’eau et laisser mijoter doucement env. 45 minutes en ajoutant un peu d’eau quand nécessaire ou jusqu‘à fonte complète de légumes si vous aimez (les pois chiches le supportent).

Vous pouvez congeler en parts individuelles de 2 c. à soupe pour vous en servir comme accompagnement avec du riz ou du quinoa, afin de respecter les apports féculents/céréales. Comme toujours, A vous de voir.

mardi 5 août 2008

Tian de légumes allégé





Excellant moyen pour cuisiner les légumes variés de votre jardin quand ils ne donnent pas encore beaucoup ou ceux qui vous restent en petite quantité. Les légumes du midi sont bien adaptés à cette recette puisqu’elle est cuisinée à l’huile d’olive mais vous pouvez faire place à votre imagination et à vos préférences.

Choisir : 1 courgette verte et 1 jaune, 3 ou 4 tomates suivant leur grosseur (de couleurs et de variétés différentes si vous avez), 2 mini pâtissons (ou 1 petit que vous évidez), 1 aubergine (si vous l’aimez, mais pas moi), 2 oignons, 1 poivron rouge et 1 vert, 2 ou 3 gousses d’ail… N’hésiter pas à jouer avec la couleur. (5 parts)

Laver, éplucher, couper chaque légume en tranches puis réserver les séparément. Peler l’ail, ôter le germe du milieu avant de, le couper en fines tranches. Graisser,d’un filet d’huile d’olive, un grand plat en terre ou un plat en fonte à fond épais, disposer successivement les différentes tranches de légumes en rangs debout, en intercalant les tranches de tomates entre chaque sorte, répartir le reste d’oignon et les fines tranches d’ail pour combler les espaces. Saler mais ne poivrer pas les poivrons donnant déjà du goût, asperger de gouttelettes d’huile d’olive, parsemer de thym et si vous l’aimez de basilic ciselé. Enfourner pour 35 à 40 minutes à four chaud th6/180°,

Mon petit truc
: recouvrir d’un papier aluminium sans obturer complètement et à mi-cuisson le retirer, ainsi des légumes sont plus fondant et non brûlés. Servir alors à l’aide d’une écumoire.

Dans l’assiette : un peu de crème allégée et de gruyère râpé remplace la quantité (astronomique) d’huile olive recommandée à l’origine dans cette recette.Comme toujours, A vous de voir.

vendredi 4 juillet 2008

Petit message pour mes amies de régime

Je parle toujours de régime mais je devrais plutôt dire nouvelle façon de s’alimenter. (mai 2007 et janvier 2008/10 petits trucs)

Depuis 2 ans que j’ai commencé à contrôler les Index Glycémiques de mon alimentation, j’ai reperdu 14 kg, mais le plus important pour moi n’était pas le poids, (bien que remettre les vêtements que je portais autrefois soit un grand plaisir), ne plus souffrir de la faim toutes les deux heures à était ma première vraie victoire.

En contrôlant les Index Glycémiques par une alimentation sans sucre et souvent sans graisse (mais jamais triste), on régule sa sécrétion d’insuline et sa faim, le pancréas étant moins sollicité, il se remet de lui-même à fonctionner normalement. (Maintenant, que j’ai changé ma façon de cuisiner, je m’aperçois que mes goûts alimentaires, eux aussi ont changé finalement).

Quand je prépare les repas ou quand je fais mes courses, je n’oublie jamais l’entrée de crudités, ne serait-ce qu’une simple tomate, des radis ou de la salade. (Si vous avez des invités, il est facile d’en manger une grosse quantité et de se restreindre sur le reste). Quand la viande est en sauce, j’en prends 1 c.à.s. de temps en temps suivant mes envies. Les fruits sont toujours réservés au goûter. Mais c’est devenue une habitude satisfaisante et plus du tout une obligation.

La deuxième victoire c’est d’être satisfaite avec des proportions normales, et enfin de connaître la satiété. Avec cette façon de cuisiner, j’ai retrouvé les goûts et les saveurs naturels des aliments. J’ai aussi adopté quelques principes de la chrono- nutrition qui apparemment marchent bien, et qui peut-être vous rendraient service :

- # Une envie de fromage autre qu’allégé : en consommer une portion avec le pain du petit déjeuner, (je le considère comme un écart, c’est-à-dire le seul de la journée), et surtout le déguster.
- # Si vous devez craquer pour du sucré, ne le faites pas avec un dessert car alors vous couperiez la digestion des graisses et des protéines, réserver cet écart pour le goûter car c’est l’heure où le sucre est le mieux assimilé.
(C'est votre balance, qui vous dira si le vous pouvez, mais en général avec deux jours plus strictes tout rentre dans l'ordre)

Mais aussi quelques autres de naturopathie :

- # Le matin au réveil ouvrir la fenêtre ou la porte et respirer, boire 1 verre d’eau chaude à jeun, pour aider à finir d’éliminer les biles et les toxines.
- # Prendre le temps de regarder son assiette avant de commencer son repas : c’est dans le cerveau que commence le processus de digestion et du plaisir de manger, d’où l’importance d’une alimentation colorée et variée.
- # Bien mastiquer car la salive est la première étape de la digestion.
- # Le soir de temps en temps : ne manger qu’une sorte d’aliment, le corps n’ayant qu’une information, il se concentre sur l’élimination.
- # Quand vous le pouvez ou suivant vos envies : au goûtez et au repas du soir manger la même chose : une mini cure du même fruit par exemple.
- # Si vous prenez un goûtez important et que vous n’avez plus faim au repas du soir, ne vous forcez pas, vous ne serez pas pour autant affamée le lendemain matin.
- # La peau est un émonctoire donc elle élimine aussi, prendre soin de son corps est un excellent moyen pour se détresser ou se redonner de l’énergie.

Maintenant en paix avec la nourriture, je cherche des petits trucs qui apportent du bien-être, je les essaie et si je les aime, je vous les donne. Souvent être bien dans son corps est plus simple qu’on le pense.
Mais comme toujours, A vous de voir.

jeudi 26 juin 2008

Mon Kombucha

Dans mes diverses expériences culinaires et recherches de recettes santé, je ne pouvais manquer le Kombucha. Vous trouverez plein de sites qui lui sont consacrés, de sa réalisation jusqu’aux bienfaits qu’il vous apporte.

N’hésiter pas à en lire. Je suis partie de leurs conseils. J’en ai d’abord acheté un litre en magasin bio, pour voir si le goût me plaisait. C’est un peu doux et acidulé, je comparerais à la texture du jus de pomme pétillant.

Je suis partie d’un litre acheté, celui-ci à l’achat doit avoir quelques filaments blancs en suspension, consommer les 9/10 ème en conservant les filaments dans le 10 ème restant pour commencer le kombachu.

Faire chauffer 1 litre d’eau en bouteille peu minéralisée dans une casserole en émail ou en verre (pas d’inox), ajouter 70 gr de sucre cristallisé, porter à ébullition, ajouter 5 gr de thé noir ou vert, laisser infuser 10 à 20 minutes, filtrer et laisser bien refroidir. Jusque là c’est tout simple.

L’opération délicate c’est la première réalisation, à partir du 10 éme du kombucha restant et des quelques filaments. Pour la première fois ajouter 1 c.à.s de vinaigre de cidre au thé infusé et filtré, verser le tout dans un large bocal (en verre de préférence) recouvrir d’une gaze maintenue par un élastique et laisser reposer +/- 10 jours à température ambiante, en surveillant l’apparition d’une fine membrane sur le dessus du liquide. J’ai dû ajouter la première fois, une bonne c.à s. de sucre cristallisé au bout des 10 jours, avant de la voir apparaître (vous l‘utiliserez comme base ensuite). Ne perdez pas patiente, au fur et à mesure de la prise le liquide s’éclaircit et consomme le sucre par la fermentation. J’ai réussi de cette façon à faire le mien, donc ce n’est pas impossible mais un peu délicat.

Vous pouvez aussi partir d’une souche,si vous avez le bonheur de vous en procurer, (parlez-en dans votre magasin bio) c’est un petit truc bien-être que j‘ai adopté, bien plus naturel que des comprimés de vitamines.
Comme toujours, A vous de voir.

lundi 23 juin 2008

Simple comme une goutte d’huile





Entendant beaucoup parler d’huiles bio comme cosmétiques. J’ai donc acheté de l’huile d’Argan





Mon premier essai comme huile hydratante ne m’a pas vraiment convaincu. Par contre ma fille l’avait appliqué sur ses enfants pour réhydrater la peau après une allergie au soleil, et là c’était très efficace.

Il me manquait juste la bonne façon de l’utiliser pour vraiment l'apprécier.

Après la douche, ne pas se ressuyer juste "essorer" les gouttes d’eau avec les mains. Mettre 1 ou 2 gouttes d’huile au creux de la main encore humide, frotter plusieurs fois les mains l’une contre l’autre pour bien émulsionner l’eau et l’huile, et appliquer sur le visage et le haut du corps encore humide, recommencer ensuite pour le bas du corps et les pieds.

De cette façon la peau absorbe juste la quantité qui lui est nécessaire, elle n’est pas grasse et toute douce après. Il faut très peu d’huile d’Argan, d’amande douce, de Millepertuis, de Rose musquée ou autre de votre choix, mais 100 % pure, naturelle et bio. C’est très rapide, et voilà une façon bien simple d’allier l’utile et l’agréable.
Comme toujours, A vous de voir.

dimanche 15 juin 2008

Simple comme un verre d’eau



J’ai entendu un petit conseil lors d’une émission "bien-être" : boire un verre d’eau le matin à jeun pour compléter l’élimination naturelle du corps.




J’avais déjà essayé ce conseil, mais boire un verre d’eau froide le matin à jeun, je trouvais cela plutôt désagréable. Hors, cette recommandation-ci c’était un verre d’eau chaude et comme j’essaie souvent ce qui me paraît logique, j’ai recommencé l’expérience.

C’est doux et très agréable, à l’inverse d’un verre d’eau froide qui provoque un frisson, un verre d’eau chaude le matin réconforte et apaise la faim.

Attention : ne pas le prendre directement au robinet d’eau chaude, ce n’est jamais recommandé.

A savoir : ces petits conseils ne "fonctionnent" que s’il vous sont adaptés, essayez-les plusieurs jours, s’ils sont "dans votre nature", vous en ressentirez comme moi très vite les bienfaits.
Comme toujours, A vous de voir.

dimanche 8 juin 2008

Concombre garni





C’est l’été qui arrive avec sa farandole de barbecues, de repas dans le jardin ou entre amis. Voici une façon simple et légère de donner un petit air de noblesse à un simple concombre.

Pour l’œil, éplucher votre concombre (entier) dans sa longueur en laissant quelques rayures de peau (mais aussi parce qu’ainsi il est plus facile à digérer/1 sur 2 env.). Couper celui-ci en deux horizontalement , évider le cœur de graines, saler légèrement l’intérieur des 2 parties obtenues et les retourner sur un assiette.

Ouvrir une boîte de sardines à l’huile, les égoutter légèrement et les placer dans une assiette creuse. Les écraser ensuite à l’aide d’une fourchette et ajouter 1 cuiller à soupe de moutarde, 2 ou 3 cuillers à soupe de fromage blanc (en faisselle), une pointe de paprika doux ou de piment et quelques petites feuilles d’estragon ciselées. Mélanger le tout jusqu’à obtention d’une pâte. Remplir l’intérieur de vos 2 moitiés de concombre (qui auront perdu un peu de leur eau) de cette préparation, couper en tronçons et décorer avec quelques feuilles d’estragon. Placer le tout au réfrigérateur en attendant le repas.

Vous pouvez : remplacer les sardines par du thon au naturel ou du saumon, la couleur est jolie mais c’est un peu plus sec. Choisir du fromage blanc en accord avec votre alimentation à 0, 20 ou 40% .Employer du petit suisse à la place, remplacer l’estragon par une autre herbe, mais pour que votre mélange ne soit pas trop liquide éviter le yaourt et la crème fraîche légère. Si vous aimez très épicé essayer du Wasabi à la place de la moutarde mais en très petite quantité, si vous faites pour des enfants remplacer par de la purée de sauce tomate. Servir seul ou au milieu d’un plat de crudités en plus petits tronçons, décorer avec des tomates cerises, etc.… (Idéal comme repas diététique du soir : légume cru + poisson)
Comme toujours, A vous de voir.

samedi 7 juin 2008

Asperges sauvages

Vous connaissez peut-être déjà les « asperges sauvages », j’avais toujours cru qu’il fallait faire de longues promenades dans la campagne pour en découvrir une botte. Quelle ne fut pas ma surprise d’en trouver sur le marché ce matin.

Leur goût est très fin, et il serait dommage de perdre une partie de celui-ci avec de la vinaigrette. En les accompagnant d’une omelette, vous avez un repas léger et gustatif à souhait.

Laver
rapidement les asperges dans de l’eau vinaigrée, les faire cuire 10 mn au cuit tout vapeur. Dans un récipient, le "cul de poule" est vraiment génial, casser 2 ou 3 œufs, assaisonner et ajouter un peu de lait, pour que votre omelette ne soit pas sèche et reste légère, il ne faut pas battre les œufs trop longtemps, 5 ou 6 coups de fouet suffisent. Faire chauffer un filet d’huile dans la poêle, verser les œufs en 1 fois, disposer sur une moitié quelques têtes d’asperges, un peu de gruyère râpé (facultatif), replier l’autre moitié de l’omelette sur celle-ci, faire couler délicatement l’excédent de liquide du côté libéré et retourner ensuite l’omelette déjà prise dessus, répéter l’opération et la retourner de l’autre côté. Vous aurez ainsi une omelette cuite à point et moelleuse. Servir entourée des asperges dans l’assiette. Il est plus facile de faire des omelettes d’1 ou 2 personnes à la fois.

Comme toujours, A vous de voir.

mercredi 28 mai 2008

Pudding familial





Voici une recette de famille que grands et petits apprécieront. Attention ce gâteau n’entre pas dans l’alimentation "sans sucre" que je préconise, par contre il ne comporte pas de matières grasses ajoutées. Si vous le goûtez "c’est un écart qu’il vous faudra gérer!"

Après un week-end familial, il vous reste souvent beaucoup de pain dur, ou après les vacances des enfants, des paquets de gâteaux entamés. Ne les jeter plus !

Je vous donne les ingrédients et les proportions à titre indicatif, ce qu’il faut surtout c’est rester le plus proche possible d’un litre de lait, cependant si votre pain est très sec, vous pouvez en rajouter +/- 1 verre (10 cl), + votre pudding serait bon mais compact.

Mettre dans un grand saladier (28 cm) le pain sec (env. 600 gr) coupé en petits morceaux et (si vous avez) quelques restes de petits gâteaux (+/- 100 gr). Répartir dessus, en filet, le litre de lait puis laisser reposer 5 minutes, retourner le mélange en le pressant un peu puis laisser le imbiber encore 5 minutes, émietter ensuite celui-ci avec les doigts jusqu’à ne plus avoir de morceaux entiers et obtenir une pâte de la consistance de la mie de pain. Incorporer env. 150 à 200 gr de sucre (suivant le choix des autres ingrédients), 1 cuiller à café de cannelle et 1 c. à soupe d‘arôme vanille.
Vous avez maintenant la base du pudding
Vous y ajouterez au choix ou en mélange : des raisins secs, des cerises et des fruits confits, des abricots secs, des pruneaux, (env. 150 à 200 gr) coupés en morceaux et farinés, des noix, des amandes, etc..
Mélanger délicatement et mettre dans un plat (20 x 25 pour avoir env. 5 cm de hauteur de pâte)préalablement huilé et fariné, ne pas tasser ni lisser la préparation mais la répartir dans le plat et bien l’aérer en la piquant à l’aide d’une fourchette (les petites pointes du dessus seront croustillantes). Enfourner à four chaud et laisser cuire 45 mn/Th.6°.

Si vos petits gâteaux étaient au chocolat : choisir des petit morceaux de pommes, de poires ou de bananes et des éclats de chocolat noir que vous "piquerez" directement dans le plat.

Si, à la place de gâteaux, vous aviez un reste de pain d’épices, n’hésitez pas à l’employer c’est délicieux, mais supprimer la cannelle.

Faites avec ce que vous avez dans vos placards ou suivant la saison, votre pudding sera toujours divers et varié. Le "coup de main" et les idées viennent avec la pratique. Recouvert de film étirable, il se conservera jusqu’à une semaine au réfrigérateur (sauf fruits frais), ou s’emportera facilement emballé en parts individuelles.
Comme toujours, à vous de voir.

jeudi 8 mai 2008

Thé vert à la menthe


Le thé vert est recommandé pour la santé mais si vous voulez, de temps en temps changer de goût, mieux vaut ne pas mettre du lait dans votre tasse. Suivant certains avis le tanin du thé et le lait ne sont pas de toutes façons les meilleurs amis.

A Noël, j’ai reçu une boîte de thé vert à la menthe, dans une belle boîte qui provenait d’un magasin bio, du style que l’on déguste comme un grand cru, et qui était d’un goût merveilleux.

Mais j’avais un kilo de thé vert de chine (acheté pour la boîte décorée) et mon délicieux cadeau fini, j’ai cherché à retrouver le goût le plus rapprochant possible avec mon kilo de thé vert (à finir). J’ai donc essayé cet hiver de saupoudrer mon "mug" d’un peu de menthe surgelée, mais le résultat était plutôt médiocre et bien peu appétissant. Je suis donc passée au printemps, aux feuilles de menthe fraîches infusées en même temps que le thé vert, mais il en faut vraiment beaucoup et mon pied de menthe n’étant pas encore très productif, (j’avais supprimé la menthe de mon jardin, car elle envahit autant que les orties), je n’ai pas eu beaucoup plus de résultat que cet hiver.

Voilà, ce que j’ai trouvé de mieux
: 2 gouttes d’huile essentielle de menthe poivrée : mentha piperita ,infusées en même temps que le thé vert, pour 1 litre d’eau. Le goût de la menthe relève celui de mon thé vert (qui est beaucoup moins bon que la boîte ne le laissait supposer), et là c’est bien suffisant et très rafraîchissant.

A savoir : passer le petit doigt sur le flacon débouché et ensuite entre les sourcils "le troisième œil", vous apporte un bien être immédiat, ou sur les tempes en cas de maux de tête. Attention : les huiles essentielles sont des hyper-concentrés.

Comme toujours, A vous de voir.

mardi 29 avril 2008

bigaradier petit grain

Lors d’une émission sur les huiles essentielles, j’avais relevé ceci : petit grain bigaradier : citrus aurantiacée ssp amarra, peut aider en cas d’énurésie.

C’est le problème de mon petit fils, et avant de penser médicaments, il me semblait qu’une petite aide ne pourrait qu’être un atout dans notre dur combat.

Suis-je tombée au bon moment (5 ans ½), avait-il besoin d’un repaire matériel, d’un encouragement, ou d’une décision irrévocable : j’ai déclaré n’avoir pas de couche et pas du tout l’intention d’en acheter. Le soir, je lui ai expliqué que 2 de mes petites gouttes "qui sentent bon", sur sa taie d’oreiller pouvaient l’aider et qu’en cas de besoin, il n’avait qu’à m’appeler.

Nous étions déjà certainement sur la bonne voie, cette huile essentielle réservée à des pathologies touchant le psychisme plutôt que le physique (voir : se soigner autrement) a-t-elle déclenché le processus final. Toujours est-il que dès le 2ème jour, le lit était sec et c’est avec un grand plaisir que nous avons écrit l’événement sur son calendrier avec un crayon rouge, à la date du jour. Nous avons quand même eu un petit accident d’une nuit, mentionné avec un crayon bleu, mais le calendrier est finalement écrit au rouge, et le paquet de couches toujours neuf et caché dans l’armoire

C’est l’expérience la plus inattendue que j’ai faite, je pense qu’un peu de toutes ces raisons ont contribué au succès. Les huiles essentielles détressantes sont assez efficaces, je ne regrette pas mon essai, même si je ne peux pas vraiment expliquer le résultat.

Attention : ne pas utiliser chez les enfants de moins de 3 ans. Les huiles essentielles sont des hyper-concentrés, il ne faut pas dépasser les doses, et ne pas les prendre en continue. Il existe de nombreux livrets (souvent gratuits) sur leur emploi, c’est votre corps qui doit vous guider, si vous n’aimez pas l’odeur, n’insistez pas, mais il n’est pas dit que cela soit définitif.

Comme toujours, A vous de voir.

mardi 22 avril 2008

Huiles essentielles : la lavande


Dans mes recherches pour améliorer mon sommeil par des moyens naturels, j’ai trouvé dans l’huile essentielle de lavande une aide assez efficace.

Comme le peu de médicaments classiques, que j’ai essayés, me procuraient un sommeil du style "assommé", et que je n'étais finalement pas plus "reposée" le matin, j’ai vite abandonné ceux-ci.

Suivant mes différentes lectures et recherches, il existe plusieurs techniques douces pour essayer d’améliorer son temps de sommeil, j’en ai donc essayé différentes jusqu ’à trouver la mieux adaptée :

Des gélules de Passiflore à prendre le soir : 2 au repas du soir et 3 au coucher, puis j’ai réduit à 3 au coucher, mais bien qu’efficaces, je ne voulais pas en prendre autrement que temporairement.

Mon problème : je me réveille en pleine nuit, avec du mal à replonger dans le sommeil, il n’est rien de plus pénible que de voir sa nuit finie à 3 ou 5 H du matin.

Après bien des efforts, j’ai réussi à appliquer comme technique de relaxation : la respiration contrôlée. Le soir, j’applique 2 gouttes d’huile essentielle de lavande fine : lavandula offinalis sur le haut de mon oreiller. Quand je me réveille la nuit, avant de me désoler, je me décontracte avec des respirations profondes en pensant au sommeil, et çà marche, je me rendors.

C’est la méthode la plus douce que j’ai trouvée, la respiration sans la lavande, ou la lavande sans la respiration n’avait pas le même effet, il m’a fallu au moins 2 semaines de persévérance, mais c’est une méthode sans médicaments. Peut-être qu’elle vous sera utile, en cas de besoin.

Attention : les huiles essentielles sont des hyper-concentrés, il ne faut pas dépasser les doses, et ne pas les prendre en continue. Il existe de nombreux livrets (souvent gratuits) sur leur emploi, c’est votre corps qui doit vous guider, si vous n’aimez pas l’odeur, n’insistez pas, mais il n’est pas dit que cela soit définitif.

Comme toujours, A vous de voir.

vendredi 18 avril 2008

Petit en-cas : galettes végétariennes




Pour profiter des bienfaits des aliments, il faut manger des légumineuses et des céréales en même temps, car leurs acides aminés sont complémentaires. Hélas, rien n’est plus difficile que de prévoir la juste quantité car quand vous ajoutez les légumes, les proportions, qui vous semblaient correctes, se révèlent excessives.

Après quelques essais, plus ou moins réussis, j’ai adopté les "galettes végétariennes", pour finir ces restes de façon agréable, la nature des ingrédients est variable, c’est le principe et vos idées qui en feront un plat original.

Cette fois-ci, j’avais un reste de boulgour (grosse semoule) et des pois chiches cuisinés avec un mélange de légumes de couscous. J’ai donc adapté les épices correspondantes à ce goût, mais j’avais déjà essayé : des lentilles vertes et du boulgour avec le même bonheur.

Ingrédients : 1 bol de céréales cuites (riz, blé, quinoa, etc …), 1 bol de légumineuses cuites (pois chiches, lentilles, etc…), 1 bol de légumes variés en petits morceaux (j’ai employé ici un mélange « croqu’salade sombrero» surgelé qui sert l’été à relever les salades de riz), 2 œufs, 1 tasse de gruyère, + ou - 1 petit bol de flocons 5 céréales (bio non sucrés), de la farine de sarrasin complète si nécessaire (ou autre), 1 tasse de persil ou de coriandre ciselé, du cumin ou d’autres épices suivant le goût recherché (ne pas hésiter à mettre des épices, ce sont-elles en grande partie qui relèveront le goût si vous consommez ces galettes froides)

Battre les œufs dans un saladier, assaisonner, ajouter le boulgour, les pois chiches, les petits légumes, le gruyère, le persil et mélanger le tout. Rectifier l’assaisonnement et ajouter les épices choisies (ici cumin et mélange pour tajine). Les flocons de céréales absorbant l’humidité, les incorporer peu à peu en mélangeant bien, la quantité dépend de celle des œufs, procéder en plusieurs fois car ils vont absorber le liquide et gonfler. La préparation doit tenir à la cuiller, mais surtout ne pas être sèche. Laisser reposer env. 10 mn et si nécessaire, pour bien lier votre préparation ajouter un peu de farine de sarrasin (ou autre). Fariner vos mains, prélever la valeur de 2 c.à.soupe, déposer au creux de celles-ci, comprimer et former une galette épaisse, puis paner ensuite délicatement la galette obtenue dans une assiette contenant des paillettes de levure maltée (ou de la chapelure). Faire cuire à la poêle dans un filet d’huile d’olive, à mi-cuisson retourner la galette à l'aide d‘une spatule pour ne pas la casser.

Ces galettes remplaceront agréablement la viande, accompagnées d’un ramequin de sauce tomate, ou froides avec une salade. Elles se conservent 2 ou 3 jours au réfrigérateur en recouvrant l’assiette d’un film étirable.

Comme toujours, A vous de voir.

dimanche 6 avril 2008

Velouté vert au curcuma

....................................................OU

Si vous avez le bonheur de faire une promenade à la campagne, et de dénicher de "la ciboulette sauvage", n’hésitez pas en rentrant à faire cette recette, elle est simple, rapide et avec un faible index glycémique.

J’épluche toujours mes courgettes, car la peau donne une légère amertume.

Laver et éplucher
votre petite botte "de ciboulette sauvage", (si vous n’en avez pas remplacer par) 1 ou 2 gousses d’ail, couper en petits morceaux. Éplucher et émincer 2 oignons. Dans le wook faire chauffer 2 cuillers à soupe d’huile d’olive, y faire revenir doucement l’oignon et l’ail, saupoudrer d’1 cuiller à café de curcuma et d’un tour de moulin de poivre noir(quantité suivant vote goût). Ajouter 1 kg de courgettes coupées en rondelles et faites les prendre de la couleur en remuant quelques minutes, allonger avec 30 cl d’eau et baisser le feu, mettre un couvercle et laisser mijoter jusqu’à ce que les courgettes soient fondantes environ 30 minutes. Mixer et accompagner d’une c. à s. de crème épaisse allégée dans l’assiette. Vous aurez un excellent velouté épais au goût nouveau (2 personnes environ), mais si vous le préférez plus liquide et avec un goût plus neutre, ajouter un peu de lait.
Comme toujours, A vous de voir.

mercredi 26 mars 2008

Potage aux fanes de radis

On l’appelle aussi "soupe de printemps", il existe bien des recettes de cette soupe, mais il est difficile d’en trouver une correspondant à une alimentation à IG faibles et sans matières grasses

Quand je vois des feuilles d’un beau vert tendre, je ne résiste jamais, pourquoi se priver des bienfaits des nouvelles pousses parce que l’on ne consomme pas de pommes de terre.

Commencer
par mettre 2 litres d’eau froide dans l’autocuiseur (cocotte minute), ajouter 100 g de riz complet avec un double bouillon cube surgelé (ou autre) et précuire doucement pendant que vous élaborer votre recette.

Ajouter du vinaigre dans la première eau de lavage des fanes de radis pour bien les débarrasser du sable.

Éplucher et préparer : 3 oignons, 1 gros poireaux, 2 carottes. Émincer
les finement (à l’aide d’un robot pour une cuisson rapide et homogène), faire revenir le tout au wook dans une cuiller à soupe d’huile d’olive. Ajouter ensuite cette préparation au riz dans l’autocuiseur, recouvrir par 500 g de rondelles de courgettes épluchées (les miennes sont surgelées, si les vôtres sont fraîches prévoir ¼ l d’eau en +). Elles donneront, avec le riz, le velouté au potage sans apport de calories inutiles . Recouvrir des fanes de radis et assaisonner : sel, poivre, thym, laurier, ail en chemise et une branche de menthe fraîche ciselée (facultatif). Fermer l’autocuiseur et faire cuire doucement 10 à 15 minutes à partir de la rotation de la soupape (suivant votre goût).

Les légumes et le riz étant précuits il n’est pas indispensable de cuire longtemps, si vous voulez préserver les vitamines et le goût printanier de ce potage. Mixer et servir chaud avec 1 c.à s.de crème allégée dans l’assiette
Comme toujours, A vous de voir.

lundi 24 mars 2008

Comment "éplucher" le saumon



Mon mari vient de me lire un article qui m’a fait réfléchir, "les poux du saumon". Je ne prends pas "au mot" tout ce que je lis, car hélas nous ne mangerions plus grand-chose, mais j’en retire toujours quelques précautions.

Jusqu’ici je faisais cuire le saumon avec sa peau, après réflexion je vais essayer de la lui retirer. Je me suis munie d’un grand et d’un petit couteau pointus bien aiguisés, (mon dernier achat : un aiguiseur universel électrique), d’une planche à découper, et de mon saumon entier :

Pour plus de facilité, il vaut mieux séparer le saumon en filets : il faut procéder avec précaution pour les dégager de l’arrête centrale, et si comme moi vous n’avez pas l’habitude, il vous suffit de dégager un seul côté et de supprimer les arrêtes après cuisson.

Couper la tête, la queue et les nageoires à l’aide du grand couteau, puis avec le petit suivre l’arrête centrale en commençant par renflement du dos, très délicatement et le plus près possible de cette arrête, pour "lever" un filet entier, c’est le plus difficile de l’opération.

Parer ensuite les bords de vos 2 morceaux en enlevant le reste des nageoires et les parties blanches. A l’aide du petit couteau décoller un peu la peau du côté queue, poser votre filet bien à plat côté peau en dessous(sur la planche à découper), puis glisser ensuite le grand couteau dans cette amorce entre chair et peau, maintenir fermement la peau, et appuyer bien le couteau en lui donnant une légère inclinaison de biais pour ne pas entamer la chair, faire glisser le couteau doucement. (Vous pouvez replier le filet sur lui-même au fur et à mesure, afin de vérifier que vous n’entamer pas la chair).
Répéter l’opération avec l’autre face, laver les filets obtenus pour les débarrasser des éventuelles écailles restantes (bien plus facile que d’écailler). Refermer les filets l’un sur l’autre, pré-découper les parts, disposer sur un lit d’oignons (voir : septembre 2007) en reconstituant le saumon dans le plat de cuisson, recouvrir d’une boîte de tomates en cubes et d’aromates, enfourner.
Avant de servir, ouvrir les parts et supprimer les arrêtes, disposer sur le plat de service entouré des légumes, recouvrir des oignons/tomates et servir la sauce chaude émulsionnée avec de la crème allégée.

Pour information : les déchets d’un saumon entier(avec la tête) représentent environ 25% du poids total, ne l’acheter donc entier que si le prix est intéressant. Vous pouvez aussi ôter le peau si vous n’achetez qu’un filet de saumon (très facile), cuit au four sur un filet d’huile d’olive, celui-ci ne se sépare pas en miettes.
Comme toujours, A vous de voir.

jeudi 13 mars 2008

Le chocolat noir 70% de cacao ou +

Franchement, je ne pouvais pas fermer mon livre, sans vous retranscrire ce passage, car voir écrit noir sur blanc que l’on peut se faire "du bien" en se faisant plaisir, tout en surveillant son poids, c’était presque trop beau!

""..Le chocolat noir (plus de 70% de cacoa) contient de nombreux antioxydants, des proanthocyanidines et beaucoup de polyphénols, un carré de chocolat en contient 2 fois plus qu’un verre de vin rouge et presque autant qu’une tasse de thé vert bien infusée. Ces molécules retardent la croissance des cellules cancéreuses, et limitent l’angiogenèse. Une consommation de 20 g par jour(2 carrés) n’est pas un apport calorique excessif. La satisfaction ressentie est souvent plus forte qu’avec une confiserie ou un dessert, en même temps que la faim est coupée plus efficacement. Son index glycémique (capacité à faire monter le taux de glucose dans le sang et à induire des pics néfastes d’insuline) est modéré, nettement inférieur à celui de la baguette de pain blanc""..
(prévenir et lutter grâce à nos défenses naturelles).

J’en déguste quotidiennement car c’est la seule chose dont je n’ai pu me passer, la première aussi qui m’a réjouie lorsque j’ai lu la liste des Index Glycémiques = IG 25, (pour ne pas déprimer, je l’avais commencée par la fin), celle aussi que j’ai classée dans les "trucs pour ne pas craquer", 1 carré de chocolat noir 70% après le repas.

(En cas d’envie trop forte, ne passez pas à 3 carrés car vous risquez des problèmes de poids, j‘ai essayé de croquer doucement 3 amandes à la place, et vérifié mon apport en légumineuses car c’est assez souvent un peu de magnésium que l’on recherche dans le chocolat, ).
Lu pour vous, comme toujours, A vous de voir.

mardi 11 mars 2008

Saumon au fenouil


Sur le conseil d’une amie, j’ai essayé un mélange assez inattendu : du saumon et du fenouil. Ma recette comprend des ingrédients compatibles avec les IG faibles, elle est facile, rapide et pleine de goût.

Placer, dans la cocotte saveur huilée avec un filet d’huile d’olive, le ou les morceaux de filet de saumon (côté peau dessous), assaisonner avec : sel, poivre, un pincée de cumin en feuille, du thym. Couper 1 gros ou 2 petits bulbes de fenouil et 1 oignon en tranches, les disposer au-dessus et autour du poisson, saler et poivrer à nouveau et recouvrir d’1 boîte de tomates en cubes et d’un peu d’eau (si votre saumon est surgelé, ne pas ajouter d’eau). Fermer le couvercle de la cocotte et enfourner 40 à 50 minutes (suivant la quantité et l’épaisseur) à 180°th 6. Placer les morceaux de saumon sur un plat, entourer des légumes, battre 1 ou 2 c à soupe de crème fraîche à 15% dans le jus de cuisson, et recouvrir le saumon de cette sauce et d’un peu de persil haché. Accompagner de riz basmati (IG50), si vous aimez. Cette façon de cuire à couvert le poisson surgelé (ou non) lui donne du moelleux et évite les odeurs.
Comme toujours, A vous de voir.

jeudi 6 mars 2008

Tomates farcies aux 4 viandes





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S’il vous reste des petites quantités de viandes dans votre congélateur, voici une recette originale pour les utiliser, beaucoup plus légère que les classiques tomates farcies .

Pour 4 grosses tomates, prévoir 100 g de chaque viande : 100 g de sauté de porc cuit (j’en cuisine toujours un peu plus, et je congèle quelques morceaux à cet effet), 100 g de dés de jambon, 100 g de blanc de dinde ou de poulet cru ou cuit, (ou au choix d’autres viandes non grasses) et 100 g de steak haché, si vous avez de plus grosses quantités, vous pouvez faire 2 plats avec ce hachis de viande, il accompagnera avec bonheur des pâtes ou du riz complet.

Dans un wook faire fondre 1 c. à soupe de graisse d’oie, y faire "suer" : 1 oignon coupé en petits dés et la valeur de 3 c. à soupe de dés d’échalotes (beaucoup plus digeste que l‘ail). Mixer ensemble le porc et le poulet, faire dorer avec l’oignon/échalote dans le wook, ajouter et faire revenir ensuite la viande hachée également, en émiettant bien les viandes pour homogénéiser la préparation, assaisonner avec beaucoup d’épices (suivant votre goût) : sel, poivre, une pointe de cumin en feuilles, du thym, du laurier, 1 seule gousse d’ail émincée pour relevé le goût, un peu de paprika doux, mélanger en incorporant 1 boîte de tomates en cubes et les dés de jambon, puis laisser mijoter doucement pendant que vous viderez les tomates.

Mettre un filet d’huile d’olive dans le fond de la cocotte saveur, disposer dessus le ½ choux coupé en lanières, évider les tomates par-dessus le choux, saler et poivrer légèrement, poser ensuite les tomates remplies sur les lanières de choux, refermer leur couvercle, disposer des petites p.d.terre coupées en deux (pour ceux qui en mangent) entre les tomates, huiler très légèrement les couvercles des tomates et les p.d.terre. Fermer le couvercle de la cocotte et enfourner 30 à 40 minutes à 180°/th 6 (suivant la grosseur), retirer le couvercle et renfourner 5 minutes pour dorer. Avant de servir parsemer de persil haché.
Comme toujours, A vous de voir.