mercredi 12 décembre 2007

Le sirop des mamies

3//2
/1
Pour les vacances de Noël, j’ai mes petits enfants et mes petites nièces (et leurs parents évidemment) quelques jours à la maison, c’est un vrai Noël pour moi. Celui du genre où vous commencez l’année bien fatigué, mais le coeur débordant d’amour!!!

J’ai retrouvé une recette de mon enfance, pour eux et mes amies du Net. Vous la connaissez peut-être déjà, et si ce n’est pas le cas, essayer là sans remord, c’est naturel et sans danger, çà calme la toux, même des petits enfants qui ne toussent pas!!!

Dans une assiette creuse, mettre une couche de sucre candi. Laver 1 carotte et la couper en tranches par dessus. Couvrir d’un film et laisser à température ambiante dans un placard par exemple (petits, nous avions vite trouvé la cachette). La carotte fait fondre le sucre candi, et vous prélevez à l’aide d’une cuiller, le sirop qui se forme au fur et à mesure de vos besoins(après une nuit environ). Quand les toutes les rondelles de carottes sont rabougries, le sucre candi est fondu complètement. Ne faites pas trop de sirop à la fois, c’est un produit frais, qui ne va pas au réfrigérateur sinon il ne fond plus. Les grandes personnes peuvent aussi l’apprécier fait avec du radis noir ou du navet. Comme toujours,
A vous de voir.

mardi 11 décembre 2007

Pommes "Canada" aux framboises


§§§§§§§§§§§§§§§§ Dans un régime sans sucre, ce qui manque le plus ce sont les desserts. Si vous n’en abusez pas, les pommes au four l’hiver sont un excellent moyen de pallier ce manque.

Mes pommes sont bio(celles du jardin de ma voisine) en cette saison, quand elles sont belles je laisse la peau, mais j’épluche les autres, les pommes "canada"(variété à cuire) cuisent de la même façon avec ou sans peau, dans ce cas il faut juste surveiller un peu plus cette cuisson pour qu’elles ne s’effondrent pas.

Laver les pommes, éplucher les si besoin, retirer les cœurs à l’aide d’un vide pomme. Placer les pommes dans la cocotte saveur(bien les serrées si vous pouvez), insérer dans les centres évidés quelques framboises surgelées et quelques autres entre les pommes. Parsemer d’ ½ cuiller à café de cardamome, couvrir et enfourner 20 à 30 minutes (suivant leur maturité et leur grosseur) à 180° th.6.

Les pommes cuites n’ont pas un index glycémiques élevés (IG.35), mais sa cuisson en change quand même un peu l’assimilation. Je vous conseille de ne pas dépasser 1 pomme cuite par jour, qu’elle soit cuite en compote ou entière, avant d’avoir vérifié si elle n’entrave pas votre perte de poids ou votre stabilisation. Si c’est le cas consommer ce dessert après un repas allégé du style : légumes et papillotes de viandes ou de poissons cuits à la vapeurs ou comme un goûter festif avec une Wasa fibre(rien de tel pour redonner le moral) Comme toujours, A vous de voir.

lundi 10 décembre 2007

Manchons de canard aux haricots rouges

J’ai essayé une fois par curiosité de faire, des manchons de canard à la tomate, mon fils m’en redemande profitons-en!!!, c’est la bonne époque, avant les fêtes ils sont souvent en promotion.

Rincer 100 gr de haricots rouges(4 parts/les miens sont bio), les mettre dans une casserole puis recouvrir de 3 fois leur volume d’eau froide dans laquelle vous ajoutez un double cube de court-bouillon surgelé(ou autre). Précuire sur feu doux pendant que vous préparez la viande, (cela évite les 2 ou 3 heures de trempage recommandées, quand les haricots sont tous descendus dans le fond de la casserole c’est prêt!!!)

Ôter la peau des 6 manchons de canard(ou 4 suivant la grosseur), c’est la partie la plus délicate, utiliser un couteau pointu bien aiguisé pour vous aider en cas de difficultés. Graisser la grande cocotte saveur avec 1 c. à. café de graisse d’oie, déposer dedans les manchons de canard et 1 petit jambonneau, couvrir et enfourner. Pendant ce temps, peler et couper en rondelles séparément : 4 oignons, 1 carotte,1 branche de céleri(en 4/5 tronçons) et ½ piment. Maintenant retirer la cocotte du four, prélever les viandes. Disposer, en couches successives les oignons émincés, les haricots rouges égouttés, parsemer ensuite des rondelles de carottes, du céleri, du ½ piment(cette dose est juste faite pour donner un petit goût subtil, si vous aimez pimenté la dose est trop faible), d’une ½ feuille de laurier émiettée, de 3 clous de girofle et une dizaine de baies de coriandre, ajouter 2 branches de thym, 2 gousses d’ail en chemise (que vous retirerez après cuisson) , recouvrir d’1 boîte de tomates "en cubes" + 1 d’eau. Remettre les viandes par-dessus ainsi que 2 saucisses fumées(entières). Couvrir et enfourner à 180 ° (th.6) pendant 4 heures, et oui ! Pas moins. Vérifier 2 fois pendant la cuisson, profitez-en pour retourner les manchons de canard et le jambonneau, il ne seront que plus moelleux.

Ce plat est long à cuire, mais je vous le conseille pour un repas entre amis. Il suffit de s’y prendre le matin. Un petit truc, laisser refroidir, prélever les viandes, débarrasser les manchons de leurs os, le jambonneau de sa peau et de l’os central, couper les saucisses en rondelles. Mélanger les haricots rouges, les laisser dans la cocotte (au passage : ôter l‘ail et les clous de girofle, les bouts de céleri, les branches de thym, ils n‘étaient là que pour le goût), et poser par-dessus au centre les "effeuillés" de canard, autour ceux de porc, et ensuite les rondelles de saucisses, recouvrer et enfourner 20 à 30 minutes avant de servir, (si vous pouvez mettre la cocotte sur la table c’est mieux).
Accompagner de salade et en cas de gros mangeurs de riz basmati, cette façon de procéder donne un plat traditionnel mais non gras. Il a eu énormément de succès, mes portions étaient pour 4 parts, j’en ai congelé une pour voir. Comme toujours, A vous de voir.

dimanche 9 décembre 2007

Cuisses de Poulet "façon couscous allégé"

En faisant mes courses cette semaine, ce sont les cuisses de poulet qui ont attiré mon attention. Six cuisses pour 5 euros, je ne pouvais vraiment pas passer à côté, et de toutes façons, le poulet ne perd rien à être cuisiné et congelé en parts individuelles.

Les cuisses de poulet, si elles ne sont pas de qualité supérieure à rôtir, demandent juste un peu plus de préparation, et les faire cuire en sauce se révèle une excellente solution.

Retirer la peau des cuisses de poulet (c’est là ! que réside la graisse en excès) et réserver. Graisser la (grande) cocotte saveur avec un filet d’huile d’olive, pour le goût. Disposer ensuite dedans en couches successives : 2 oignons émincés et 1 poivron coupé en lamelles, parsemer des rondelles d’un ½ piment et d’une branche de fenouil (je garde toujours les belles branches de fenouil, quand j’en fais un bulbe à la vapeur et je les congèle en petits sachets individuels), placer maintenant les cuisses de poulet. Recouvrir d’1 boîte de tomates concassées et d’1 boîte d’eau(la même valeur). Saler avec une pincée de gros sel de Guérande (si vous avez), ajouter 1 c.à c. env. de thym et 2 gousses d’ail en chemises, émietter une ½ feuille de laurier sur le plat(vous profitez ainsi d’un goût plus subtile), ajouter quelques graines de coriandre (si vous avez). En dernière couche inclure 1 kilo de courgettes épluchées, vidées et coupées en morceaux, couvrir et enfourner 1 heure à 180°th.6.

Mes courgettes étant surgelées(dans ce cas là, je ne congèle plus mon plat), elles rendent beaucoup d’eau à la cuisson, n‘hésitez pas à prévoir une deuxième boîte de tomates "en cubes" avec des courgettes fraîches, quand vous voulez accompagner ce plat de semoule(semi ou complète) et de pois chiches (pour avoir les apports nutritifs des céréales/légumineuses). Ce plat se conserve dans sa sauce, en boîte hermétique, 2 ou 3 jours au réfrigérateur, et fait merveille en plat maison congelé. Comme tout les plats mijotés « réchauffé c‘est encore mieux », Comme toujours, A vous de voir.

samedi 8 décembre 2007

Endives braisées


§§§§§§§§§§§§§§§§
Je suis native du Nord (59) région productrice où nous appelons les endives « chicons », car la racine c’est une espèce de chicorée. Mon père, qui était cuisinier disait toujours : les endives craignent l‘eau. Je suis donc étonnée mais sur le paquet des "perles du Nord" ils recommandent de les cuire immergées dans l’eau, à la vapeur, ou braisées. A mon avis quand on a essayé la vraie recette c’est-à-dire braisées, on oublie vite les autres. Ne les traiter plus "avec dedain", nous en mangeons une fois par semaine l’hiver et toujours avec le même plaisir !

Acheter des endives bien serrées, ne les laver pas, supprimer plutôt les feuilles abîmées du pourtour si besoin et essuyer les ensuite, couper un peu le trognon pour le rafraîchir. A l’aide d’un petit couteau pointu creuser le pied : le petit cône que vous supprimez par cette opération contient l’amertume de l’endive!!!.

Faire fondre 1 c. à café de graisse d’oie dans le Wook ou la sauteuse, couper les endives en 2 et les faire dorer face arrondie en premier, retourner pour faire revenir l’autre côté, disposer ensuite cette première couche dans l’autocuiseur légèrement graissé, parsemer là de thym et de quelques lardons fumés, saler et poivrer, recommencer l’opération avec les endives restantes et disposer les par-dessus, assaisonner. Fermer la cocotte minute et faire cuire (en commençant à feu très doux) pendant 25 minutes, les endives dégagent leur propre jus n’ajouter pas d’eau.

Pour des endives au jambon, il faut 1 grosse endive (5 au kilo) par fine tranche de jambon. Si comme moi, vous employez du jambon non dégraissé ou fumé retirer la couenne et le plus gros de la graisse sur le pourtour des tranches, passer cette couenne dans la cocotte saveur pour la graisser c’est suffisant. Égoutter 2 demi endives braisées disposer les au centre d’une tranche de jambon, les recouvrir par 2 rondelles de Mozzarella (+ ou - suivant votre goût et sa forme allongée ou ronde), fermer le jambon, disposer la roulade dans la cocotte saveur et recommencer avec les suivantes. Égoutter les lardons fumés et les disposer par-dessus, parsemer de gruyère, fermer la cocotte saveur et faire gratiner 10 mn (même méthode dans un plat à gratin découvert, mais je trouve le jambon moins moelleux ). Compter 2 roulades par personne, vous pouvez si vous le souhaitez en faire un peu plus et conserver filmé ou en « Tupper » au frigidaire 1 jour ou 2 en attente d’être gratiné, par contre ce n’est pas un plat qui se congèle facilement
(recette pour Fabio/pas de farine dans ce plat)

On peut mettre de la sauce blanche à la place de la Mozzarella et avant le gruyère, mais ce serait plus long et plus élevé en Index Glycémiques

Les « endivettes » (endives de fin de saison c’est la deuxième pousse, elle sont beaucoup plus petites, ne les acheter que bien fraîches sinon il y a trop de pertes), les braiser de cette manière en fait un accompagnement pas cher et plein de saveur, qui se marie bien avec des viandes blanches. J’aime bien cuire des côtes de porc à la cocotte minute en même temps : c’est fondant. Comme toujours, A vous de voir.

vendredi 7 décembre 2007

Variante sur la soupe au potiron

Lors d’une émission télé, un producteur de légumes en agriculture raisonnée conseillait de laisser la pelure du potimarron lors de la confection d’une soupe, et il regrettait que les clients n’osent pas suivre son conseil, car c’est cette peau qui contient le plus de « bêta-carotènes ». J’ai donc essayé son idée!

Laver le potimarron (ou courge) avec une brosse, couper en quartiers et débarrasser de ses graines et filaments, couper en morceaux(mettre en attente). Eplucher 2 belles carottes, 3 oignons, 2 gros poireaux, couper les séparément en rondelles. Dans l’autocuiseur, faire fondre 1 c.à s. de graisse d’oie, y faire revenir légèrement les oignons émincés, ajouter ensuite les rondelles de carottes et celles des poireaux, remuer 2 ou 3 fois, saler et poivrer légèrement, 1 pincée de thym(facultatif). Disposer par-dessus le potimarron en morceaux (800 gr env.), inclure à ce moment la muscade ½ à 1 c.à café (suivant votre gôut) et 100 gr de riz complet. Couvrir avec + ou - 2 litres d’eau. Fermer la cocotte-minute et après la 1 ère rotation de la soupape, baisser le feu et faire cuire 20 minutes.

Mixer finement le tout et servir en plat unique le soir avec 1 c.à.s. de crème allégée dans l’assiette, les fibres du potimarron et les légumes allégent la valeur en I.G de celui-ci, et la saveur n’est pas plus forte que sans la peau. Comme toujours , A vous de voir.

jeudi 6 décembre 2007

Petit message "cocotte-saveur"



Je viens de voir que mon blog est lu par d’autres que mes amies proches, bienvenue à toutes et tous. Vous avez comme moi des difficultés à trouver des recettes avec la cocotte-saveur, n’hésitez pas à prendre les miennes. Je les ai adaptées à une cuisson douce(45 à 60 mn à 180° ou th.6) et allégée, cette cocotte mérite son nom, mais surtout traitez là avec douceur, elle est aussi fragile qu’un revêtement "téflon". Pour là laver si vous avez fait un gratin : faites là tremper, décoller ensuite ce qui a attaché avec une cuiller en bois, et si ce n’est pas suffisant, n’utiliser pas d’autre "éponge grattante" que celle recommandée pour le "téflon". Son poids peut vous paraître léger au début, mis cela devient vite un atout Je ne fais pas de pub, mais si on peut se faciliter la vie, je suis toujours "partante". Ma devise en cuisine : simple et bon. Le "cuit-vapeur", j’aime bien aussi et depuis que je l’emploie mes légumes retrouvent leur goût!!!. On peut parler de cuisine légère sans avoir recourt à des recettes tristounettes ou compliquées.
Comme toujours, A vous de voir.

mardi 20 novembre 2007

Filet mignon à l’orange

Pour essayer cette adaptation de recette à l’orange, en ce moment c’est très tendance, le filet mignon de ce dimanche m’a paru une très bonne occasion.



Dans la cocotte saveur, disposer le filet mignon sur un filet d’huile d’olive. Entourer le d’1 belle carotte et de 2 oignons coupés en rondelles. Prélever le zeste d’1 clémentine avec un couteau économe, hacher le finement, parsemer en, accompagné d’1 pincée de cumin, le filet mignon. Arroser avec le jus d’1 d’orange, saler et poivrer (ou une pointe de cardamome à la place de poivre). Couvrir et enfourner. A mi-cuisson ajouter ¼ de litre de bouillon de volaille(ou d’eau), et retourner le filet. La cuisson dépend du filet, le mien étant congelé je l’ai fait cuire entier au four/45 mn à 180°(th.6).

Bien homogénéiser la sauce (facultatif / ajouter 1 c à s de crème allégée), cette sauce originale étant très aromatisée, elle fait merveille accompagnée d une couronne de riz basmati et du choux à la vapeur.

Vous pouvez faire cuire le filet mignon avec cette même sauce : découpé en médaillons, en sauteuse, etc… Que vous choisisiez n’importe quel mode de cuisson, c’est cuit quand les carottes sont moelleuses. (adapter la grosseur des rondelles à celle de la viande)
Comme toujours, à vous de voir.

dimanche 18 novembre 2007

Maquereau à la moutarde en gelée

Au hasard de mes recettes allégées, j’ai trouvé une entrée originale. J’avais acheté chez mon poissonnier : un maquereau de la méditérrannée, étant 2 fois plus gros qu’un autre, je l’avais prévu pour deux repas. Une moitié chaude consommée avec 1 c à soupe de crème allégée et l’autre froide dans son jus.(désolé, je n'ai pas retrouvé de maquereau de la méditérranée pour la photo)

Découper un morceau de papier sulfurisé pour faire un papillote, au milieu de celle-ci déposer 2 c à soupe de moutarde à l’ancienne, poser dessus le maquereau préalablement : lavé, étêté et vidé, pour plus de goût, remplir aussi les flancs du poisson de moutarde, recouvrir ensuite le dessus de moutarde à l‘ancienne. Fermer la papillote puis la disposer dans le premier bol du cuit-vapeur, les légumes dans celui du dessus, cuire pendant 30 minutes. Après cuisson ouvrir délicatement une extrémité de la papillote au-dessus d’un bol afin de récupérer le jus et ensuite la moutarde.

Epucher le poisson : la peau se détache maintenant facilement, prélever les filets, les mettre dans un ramequin et recouvrir avec le jus et la moutarde homogénéisés par quelques tours de fourchette, recouvrir d’un film alimentaire et réfrigérer quelques heures. Le jus se transforme en une gelée à la moutarde, mais attention, si vous la servez à côté d’aliments chauds, elle redevient liquide. Le maquereau en papillote reste mœlleux, l’avantage de la cuisson vapeur est d’éviter les odeurs.

Comme toujours, A vous de voir.

samedi 17 novembre 2007

L’orange de mamie

J’avais acheté des oranges vraiment trop acides, et la dernière restait abandonnée dans la coupe à fruits. J’ai repensé à un truc de grand-mère contre les odeurs de "renfermé".

Prendre une orange, la piquer de clous de girofle et la mettre sur une soucoupe dans votre placard. Surveiller, et retourner une fois par semaine. Très efficace l’essence orange/girofle qui s’en dégage, et bien moins cher que tout les produits chimiques. Comme toujours, A vous de voir.

jeudi 8 novembre 2007

Pommes "oignons"


Ici, c’est ainsi que l’on appelle une variété de petites pommes rouges, qui font crues le délice des enfants, mais que personne ne cuit plus en compote par manque de temps. La pelure des pommes, contenant beaucoup de pectine, est bonne pour la santé, encore faut-il qu’elles soient sans pesticides!!!. Si vous avez l’occasion, lors d’une visite à la campagne, d’en recevoir un panier en cadeau, surtout faite l’essai de cette recette.

Laver soigneusement les pommes, au besoin avec une brosse, car en fin de saison elles se recouvre d’une couche noirâtre (c’est le plus long). A l’aide d’un vide- pommes creuser le centre, entailler légèrement la peau à mi-hauteur avec un couteau pointu, afin que la pomme n’éclate pas à la cuisson, disposer dans un plat très légèrement beurré et couvrir. Enfourner ensuite et cuire doucement (180°/Th6) pour préserver la saveur, vérifier la cuisson à l’aide d’une pointe de couteau. Les pommes oignons n’ont vraiment pas besoin de sucre, par contre les petites « golden » sont moins sucrées, et s’il vous en reste laissez les dans le pat couvert et dans leur jus, le lendemain c’est encore meilleur!!!. Comme toujours, A vous de voir.

dimanche 4 novembre 2007

Potée allégée



§§§§§§§§§§§§§ L’hiver revient, maintenant que nous habitons la campagne dans une région productrice de bois , nous avons renouer avec ce mode de chauffage. Les recettes que je fais n’ont pas de temps de cuisson précis, car je les prépare le matin et je les enfourne pour une cuisson lente dans la cuisinière à bois, qui sert aussi de chauffage par la même occasion. Vous aurez pourtant le même résultat dans un autre four, le principe étant de cuire à 180°(6) dans une cocotte couverte, avec très peu de matière grasse.

J’emploie ici un morceaux d’épaule de porc préparée en rôti, mais un autre morceau de votre choix conviendrait aussi bien, j’ai remarqué que le porc cuit congelé est souvent plus moelleux, je le fais précuire avec des oignons autour, vous pouvez prendre la recette après si le vôtre est frais.

Dans une cocotte saveur, mettre 1 c. à s. de graisse d’oie, 2 oignons coupés grossièrement en tranches autour du roti congelé, assaisonner puis couvrir et enfourner à 180° (Th.6). Pendant ce temps : éplucher et couper en morceaux : 1 chou vert frisé (ou ½ et ½ chou chinois), 1 carotte, 1 gros poireau. Mélanger ensuite ces légumes aux oignons, ainsi qu’1 bol de haricots préparés (j’emploie des mogettes surgelées, pour plus de facilité), ajouter ½ verre d’eau (additionné d’1 cube de court-bouillon surgelé ou suivant votre choix) assaisonner : sel, poivre, thym, laurier, quelques boules de coriandre, 2 gousses d’ail en chemises. Disposer 1 ou 2 saucisses fumées par-dessus, remettre au four et prolonger jusqu’à cuisson du rôti(env. 1 heure).

Cette recette peut se cuire également dans une sauteuse, c’est facile et rapide comme préparation, le plus long c’est de laisser mijoter à couvert, pour avoir la satisfaction du mélange des arômes. Les haricots comme féculents évitent les p. de terre, et apportent la satiété tout l’après-midi. Comme toujours, A vous de voir.

Relevé pour vous :
Ne jamais laissez tremper les fèves ou haricots de toutes sortes à la température de la pièces parce cela augmente l'effet des gaz. Faire tremper au réfrigérateur 8 à 10 heures.

mardi 30 octobre 2007

Soupe aux haricots rouges


J’ai acheté un paquet de petits haricots rouges dans mon magasin bio, mais en rentrant chez moi je n’ai pas trouvé de recette qui me satisfasse vraiment. Il y avait dans ces recettes toujours 1 ou 2 ingrédients à index glycémiques élevés et beaucoup trop de graisse.
Le froid étant revenu, pourquoi donc ne pas en faire une base de soupe, et comme les haricots rouges se marient très bien avec du riz, je peux ainsi respecter le mélange féculents/céréales.

J’oublie fréquemment de faire tremper mes haricots, aussi j’emploie souvent des haricots surgelés, pourtant voici une astuce que j’ai relevée et essayée : rincer 100 gr de haricots rouges, les mettre dans une casserole puis recouvrir de 3 fois leur volume d’eau, faire cuire sur feu doux pendant que vous préparer la soupe, Cela évite les 2 ou 3 heures de trempage recommandées, quand les haricots sont tous descendus dans le fond de la casserole c’est prêt!!!

Éplucher et couper en morceaux : ½ choux, 2 poireaux, 2 carottes, 2 oignons. Dans l’autocuiseur faire revenir les oignons émincés, ainsi que 100 gr de lard fumé, avec 1 c à s. de graisse d‘oie, ajouter ensuite les rondelles de poireaux et celles de carottes, faire à nouveau revenir quelques intants, puis ajouter 50 gr de riz complet, les lanières de chou et les haricots rouges égouttés. Assaisonner avec du sel, du poivre, 3 cloux de girofle, 1 branche de thym, ½ feuille de laurier, 2 gousses d’ail. Mélanger le tout et ajouter une saucisse fumée pour donner du goût(si vous aimez), recouvrir avec 2 ou 3 litres d’eau suivant la consistance désirée, fermer la cocotte minute et laisser mijoter doucement pendant 30 minutes après le premier sifflement. Passez le tout au mixeur (ou blender)et servir en plat unique(suivant la consistance), vous avez une onctueuse soupe légèrement rosée et une bonne façon de profiter des bienfaits de l’association des légumes / légumineuses /céréales…
(Les poivrons étaient destinés à être servir en cubes et ajoutés dans l’assiette, cela n’apporte rien finalement, mieux vaut 1 c. à s. de crème allégée !!!)
Comme toujours, A vous de voir

Relevé pour vous :
Ne jamais laissez tremper les fèves ou haricots de toutes sortes à la température de la pièces parce cela augmente l'effet des gaz. Faire tremper au réfrigérateur 8 à 10 heures et garder l'eau de la cuisson.

vendredi 12 octobre 2007

Le pâtisson



§§§§§§§§§§§§§§
Le Pâtisson que l’on appelle aussi artichaut de Jérusalem, faisant partie de la famille des courges, demande une cuisson un peu recherchée. Quand ma recette comporte un hachis de viande, j’en profite souvent pour utiliser les petites portions de viande cuites et congelées prévues pour ces occasions.

Ici j’ai utilisé du sauté de porc et du steak haché. Mettre dans une sauteuse ou un Wook, 1 cuiller à soupe de graisse d’oie, y faire décongeler doucement les morceaux de porc, pendant quelques minutes, ajouter ensuite le steak haché et les oignons coupés en petits morceaux. Faire revenir le tout, quand le porc est décongelé, le mixer avec le steak. Remettre le hachis dans le Wook avec les oignons, ajouter 1 boîte de tomates en cubes, assaisonner avec : sel, poivre, thym, ½ feuille de laurier, quelques boules de coriandre et 1 pincée de graines de cumin, mélanger le tout. Retirer du feu et laisser en attente. Couper le haut du pâtisson pour former un fin couvercle, former ensuite un cercle dans la chair à l’aide d’une pointe de couteau, puis creuser et évider la partie des graines avec une cuiller à pamplemousse (elles sont munies de dents, ce qui facilite la tâche). Récupérer, si vous pouvez la partie supérieure sans graine comme avant couvercle. Badigeonner avec un peu d’huile d’olive toute la chair intérieur du pâtisson, saler et poivrer, remplir ensuite avec la préparation de viandes. Refermer avec l’avant couvercle et poser le couvercle par-dessus. Mettre dans la cocotte, et cuire à couvert pendant 1 heure à 180°, ajouter un peu d’eau à mi-cuisson si nécessaire.
Vous pouvez comme moi accompagner d’une grosse p-d-terre couper en deux,évidée et remplie de la même préparation. Dans une autre cocotte huilée mettre une rangée de tranches de p-d-terre et recouvrir de cette même préparation et d’un couche de gruyère, c’est une bonne façon de faire le repas pour toute la famille en même temps.
Attention : ½ heure de cuisson suffit pour les p-d-terre et une cuiller à soupe de crème fraîche ajouter dans l’assiette vous donnera toute l’onctuosité désirée.
Conseil : couper le pâtisson en deux et ensuite en quartier comme une orange, vous pourrez ainsi facilement mettre la crème sur la chair et déguster sans être gêné par la peau. Si votre pâtisson est gros, l’autre moitié pourra faire un deuxième repas, car comme les courgettes, il gagne en saveur à attendre une fois cuisiné, d’où l’importance de ne pas mettre trop ni de cumin ni de coriandre car leurs goûts amplifiés supplanteraient tous les autres.
Comme toujours, A vous de voir.

samedi 6 octobre 2007

Citrouille, potiron et potimarron,

Valeur nutritive
Ce fruit est très riche en vitamines A, B, C, D, E, en oligo-éléments (phosphore, calcium, magnésium, fer, potassium, silicium, sodium.), en acides aminés, en acides gras insaturés, en amidon, en sucres naturels et en carotène.

Conservation
La conservation de ce fruit est excellente, jusqu'à avril de l'année suivante dans une cave sèche. Plus le fruit est stocké, plus ses teneurs en vitamines et en sucre augmentent.
(j’ai pu constater, qu’il est aussi plus facile à éplucher et son goût moins prononcé, même juste après 15 jours d’attente dans ma "grange").
Valeur nutritive au 100 g
Peu de calories(31), mais haute teneur en fibres. Riche en vitamines A, B, C (plus la courge est orangée, plus elle contient de la vitamine A), sels minéraux: calcium, fer, potassium.
Index glycémiques
Pour avoir une base de recette compatible avec les index glycémiques bas, il faut autant de potiron(75) que de courgette(15) : j’ai donc utilisé 1 kg le potiron et 1 kg de courgettes (nets : après préparation).

Eplucher et couper en tranches 3 oignons, les faire blondir dans l’autocuiseur, avec 1 cuiller à soupe de graisse d’oie, ajouter ensuite 2 carottes coupées grossièrement en rondelles, mélanger et après quelques instants, incorporer le kilo de morceaux de potiron et celui de courgettes, remuer le tout pour homogénéiser le goût, assaisonner avec : sel, un « soupçon » de poivre, un pincée de « graines » de cumin (mieux vaut en remettre dans l‘assiette que trop à la cuisson), quelques boules de coriandre, 1 branche de thym, ½ feuille de laurier, mélanger et ajouter 100 gr de riz complet et 1 litre d’eau(la courgette rendant de l’eau ne pas dépasser 1 litre de liquide). Fermer l’autocuiseur et après le premier chuintement du sifflet, baisser le feu et laisser cuire pendant
15 minutes. Mixer ensuite le tout pour obtenir un velouté, au goût original et épicé. Vous avez aussi maintenant une base de consommé :

Que vous pouvez décliner de différentes façons :
En utilisant, si vous avez, du bouillon de volaille maison à la place d'eau lors de sa préparation.
En remplaçant, le cumin par de la muscade.
En Congelant, en parts individuelles(c'est l'avantage du riz à la place des p.d.terre)

Que vous pouvez déguster de différentes façons :
Nature, avec juste 1 cuiller à soupe de crème allégée dans l’assiette.
En incorporant, des petits carrés de 3 poivrons surgelés(ou frais), et en le faisant réchauffer quelques minutes.
En l’agrémentant : de croûtons frits et de gruyère râpé pour ceux qui ne sont pas au régime!!!
En parsemant, de cerfeuil ou de coriandre fraîche dans l’assiette.

A savoir : la consistance de cette soupe permet d'en faire un plat unique pour le soir. Comme toujours, A vous de voir.

vendredi 5 octobre 2007

Variante sur riz complet



Les poireaux faisant parties de la famille des alliacés, leurs apports bénéfiques pour la santé ne sont plus à démontrer. Partant de ce principe, en faire une base avec des oignons, pour agrémenter la cuisine, allie bon sens et plaisir.

Éplucher 3 oignons, les couper en tranches et faire revenir au Wook (ou à la sauteuse) dans 1 cuiller à soupe de graisse d’oie ou d’huile d’olive. Quand ils sont dorés, ajouter les poireaux en rondelles (ici, ils étaient surgelés), ajuster la quantité de ceux-ci suivant celle du riz et votre goût. Faire revenir légèrement et ajouter le riz complet, poursuivre à sec en remuant pendant 1 minutes, assaisonner avec sel, thym, et 1 cuiller à soupe de mélange pour colombo, puis ajouter quelques raisins secs, mélanger et recouvrir d’eau (quantité suivant le volume de riz). Laisser cuire (sans couvrir) à feu très doux pendant env. 45 minutes, (le riz cuit un peu plus vite quand il est revenu avec les poireaux au début de la recette), surveiller et rajouter de l’eau si besoin.
Ajouter dans l’assiette : en accompagnement : 1 cuiller à soupe de crème allégée. Pour un repas complet : de la fêta ou du poulet, etc…
Se congèle très bien en petites portions, pour avoir toujours sous la main un apport original de féculent avec les légumes vapeur.
Comme toujours, A vous de voir.

dimanche 30 septembre 2007

Les rides et nous

Et votre cou !!!, 2 ou 3 fois par semaine quand vous mettez de la crème hydratante sur votre visage, n’oubliez pas votre cou et descendez un peu sur votre gorge au moins 1 fois par semaine. C’est au cou que l’on pense le moins, mais il ride aussi, prenez en soin!!! (j’applique ce principe depuis 20 ans, j‘apprécie le résultat de mes efforts)

En faisant des recherches sur le Net, j’ai trouvé ces deux articles : je les aime bien et vous ?

1/Le palmarès des aliments antirides
Quelles que soient les ethnies, les aliments les plus protecteurs contre le vieillissement de la peau sont : les oeufs, les yaourts, les légumineuses, les légumes (en l'occurrence ceux à feuilles vertes comme les épinards, les aubergines, les asperges, le céleri, l'oignon et l'ail), les noix, les olives, les cerises, le raisin, le melon, les fruits secs, les pommes et les poires, le pain aux céréales, le jambon, le thé et l'eau, qui sont tous associés à un moindre vieillissement cutané. Cet effet n'est pas lié au hasard : les fruits, les légumes et le thé, constituent des sources majeures de polyphénols qui sont des antioxydants encore plus puissants que la vitamine C et E, connus pour prévenir la peroxydation induite par les UV. In vitro, les composés procyanidiques du raisin ont démontré des effets anti vieillissement cutané et on a récemment identifié les pruneaux, les fraises, les baies et le thé parmi les aliments les plus antioxydants. Enfin, l'effet protecteur des légumes est sans doute aussi lié à leur contenu en phytoestrogènes antioxydants.
Reste évidemment à confirmer ces résultats préliminaires par des études d'intervention pour vérifier si l'alimentation peut effectivement ralentir le vieillissement de la peau. En attendant, sans sacrifier au culte du jeunisme, on peut toujours espérer garder une meilleure mine en consommant des fruits, des légumes, frais et secs, de l'huile d'olive et en buvant du thé...


2/Une influence évidente
Principaux résultats : les sujets les moins ridés consomment le plus de fruits et légumes, d'huile d'olive, de poisson et de légumineuses (après ajustement sur l'âge et le tabagisme qui influencent le vieillissement cutané). A l'inverse, l'importance des rides est positivement corrélée avec une consommation élevée de viande rouge (spécialement sous forme de charcuterie), de sucreries (sodas, pâtisseries, glaces), de pommes de terre et de produits laitiers entiers.

Lu pour vous, mais comme toujours, A vous de voir.

mercredi 26 septembre 2007

Betterave rouge râpée




Dans mes essais de recettes pour diversifier mes crudités, puisque c'est encore la meilleure façon de commencer un repas :



(2 cuillers à soupe d’huile d’olive ou de colza par jour étant indispensables pour l’équilibre des oméga 3 et 6). J’ai essayé la betterave rouge crue. Il suffit de l’éplucher, la râper comme des carottes et d’en faire une salade. C’est une entrée d’une belle couleur rouge, et au goût très doux. Si vous avez l’occasion de trouver sur le marché des betteraves rouges non cuites, faites l’essai vous ne serez pas déçu.
Comme toujours. A vous de voir.

mardi 25 septembre 2007

Lit d'oignons



Recette pour une nouvelle amie et sa cocotte-saveur.

Non, le saumon n’est pas sec! Au four : la saveur sans l'odeur!!!

Je le cuis sur un lit d’oignons,

4 ou 5 oignons coupés en tranches, disposés dans le fond du plat sur un filet d’huile d’olive. Poser le morceau de poisson dessus, assaisonner, couvrir et enfourner. A titre indicatif : pendant 45 mn environ à 180°, mais cela dépend de votre source de chaleur. Ajouter un ½ verre d’eau ou de vin blanc à mi-cuisson si nécessaire. Servir ensuite cette compote d’oignons sur les parts de saumon ou agrémentée d’1 cuiller à soupe de crème allégée, suivant les goûts.

Cette fois, c’était un morceau de saumon surgelé, j’ai fait cuire les légumes en même temps, et j’ai ajouté de l’oseille. Un « lit d’oignons » et du poisson : saumon ou autres, filet, entier ou morceau!!!
Comme toujours, A vous de voir.

lundi 24 septembre 2007

Petit + avant l'hiver

J'ai fini de lire : La vérité si je mange!, du Dr Didier CHOS (résumé disponible sur le Net) ce livre rentre tout à fait dans les principes alimentaires auxquels je crois de plus en plus. En gros, même notre humeur pourrait, je dis bien pourrait dépendre de notre nourriture. Un manque de magnésium, un déséquilibre en potassium, etc... Et ne cherchez pas plus loin, pourquoi, vous vous sentez irritable et sans moral.

Ne jamais oublier, chaque jour, la pyramide de l'alimentation équilibrée et de boire 1.5 litre d'eau (très minéralisée en cas de fatigue), et pas toujours la même marque. Pour mémoire (en portion) = 5 fruits et légumes, = 4 céréales et légumineuses, = 3 produits laitiers, = 2 viandes ou poissons ou œufs, = 1,5 L d’eau.

J'avais pendant une période un peu trop supprimé les féculents, car je n’en avais plus besoin pour combler ma faim, or ils ne servent pas qu'à cela. L’association des 3 sources de protéines : animales, céréales, légumineuses, est indispensable pour l’harmonie du fonctionnement des trois neuromédiateurs, un déséquilibre en entraîne d’autres. Le livre faisant 300 pages, mon explication est vraiment des plus simplifiée.

J’aime bien son chapitre : Testez-vous, et quand il rappelle qu’Hippocrate disait déjà : « Que l’aliment soit ton premier médicament » 400 ans avant notre ère quand même!!!

Depuis 15 jours,je respecte à nouveau les 5/4/3/2/1 de la pyramide, et j’ai repris une cure des compléments qui me conviennent, j’ai un regain d’énergie. Avant l’hiver, c’est un + appréciable, cette petite remise au point est à la portée de tous ceux qui écoutent un peu leur corps. Mais comme toujours, A vous de voir.

mardi 18 septembre 2007

Autour d'une poule


Nouvel essai dans les mélanges de viandes cuites au bouillon. Il est toujours dommage de faire un bouillon bien aromatisé et de ne pas en profiter pleinement.

Une poule au bouillon s’accompagne généralement des légumes, mais aussi souvent de riz et d’une sauce blanche avec des champignons. Cuire en même temps un jambonneau ½ sel (préalablement rincé). Cela vous permet non seulement de donner du goût à votre bouillon (dégraissé vous l’utilisez pour faire cette sauce blanche), mais si vous avez quelques restes de poule, de les utiliser ensuite en les mélangeant.

Prélever la chair du jambonneau cuit, mixer celle-ci et les restes de chair de poule, un peu d’ail, de persil, du poivre mais pas de sel.
Dans une sauteuse ou un Wook, faire revenir 2 oignons coupés en petits carrés, ajouter 100 gr de boeuf haché (la quantité varie suivant la grosseur du jambonneau) et quelques lardons fumés (facultatif). Quand les oignons et la viande sont dorés, ajouter 2 boîtes de tomates en cubes et 1 du bouillon dégraissé, quelques feuilles de basilic et une dizaine de brins de ciboulette cisaillés, une branche de thym, du paprika doux, poivrer et saler légèrement, rallonger avec ½ boîte du bouillon (suivant la recette que vous choisirez) et laisser mijoter couvert doucement pendant 20 minutes. Il faut respecter ce temps pour que la sauce ait du goût. Incorporer le mélange jambonneau/poule, remuer et poursuivre la cuisson encore 5 minutes.

Vous avez maintenant une base originale pour :

Des lasagnes ou un gratin de pommes de terre : une couche de lasagnes ou de pommes de terre, 2 louches de mélange, 5 ou 6 tranches de mozzarella (selon la dimension de votre plat), renouveler par couches et finir en recouvrant de gruyère.

Un gratin de courgettes : une couche de courgettes, ajouter du riz ou du Ebly pour absorber le jus, égoutter un peu la préparation sauce/viandes, la mozzarella devient facultative si vous voulez allégé le plat. Ce plat se congèle aussi en part individuelle.

Et si vous profitiez du four, pour cuire en même temps une compote de pommes et coings pour le dessert!!!
Comme toujours, A vous de voir.

dimanche 16 septembre 2007

Compote pommes et coings aux épices


C’est la saison des récoltes, les compotes de fruits vont être de nouveau sur nos tables. J’ai essayé un mélange original avec les premières pommes et quelques coings.

Éplucher la valeur de 3 kilos de pommes pour 1 kilo de coings, les couper séparément en petits morceaux. Disposer en premier les coings dans un récipient avec couvercle ainsi qu’¼ l. d’eau, puis les pommes par-dessus. Au choix, faire compoter doucement sur une source de chaleur, ou mettre au four. A mi-cuisson mélanger et ajouter de l’eau si besoin(suivant la variété de pommes), 1 cuiller à café de cannelle et 1 pincée de cardamome. Ce pourcentage de pommes permet de faire de la compote sans sucre ajouté, la cardamome donnant un goût épicé on ne l’utilise que par pincée comme le poivre. Cette compote se conserve plusieurs jours au frigo ou se congèle très bien en part individuelle
Comme toujours, A vous de voir.

samedi 15 septembre 2007

Confiture de pêches et poires épicée


Une charmante voisine m’a fait un précieux cadeau : un seau de petites pêches blanches pour mes confitures, malheureusement cette année, elles se sont révélées un peu fade après cuisson. Ici, par manque de soleil, elles n’avaient hélas! plus beaucoup de goût une fois cuites.

J’avais donc une demie bassine de compote de pêches un peu dévevante. J’ai ressorti mon livre des confitures pour trouver, quel autre fruit de saison, je pourrai bien mélanger pour en relever le goût. Des poires !!! Là : pas de problème, le verger étant très généreux avec ce fruit cette saison. J’ai donc recueilli un seau de poires afin d’avoir la même quantité de compote.

Pêches/poires/miel/gingembre/muscade

Éplucher
et couper les pêches en morceaux. Faire compoter sans sucre pendant 15 à 20 minutes en remuant constamment au début.
Éplucher et couper les poires en morceaux . Faire compoter doucement et à mi-cuisson, ajouter 250 gr de miel, poursuivre jusqu’à la fin de celle-ci en remuant afin que les morceaux s‘enrobent de sa saveur (le temps de cuisson dépend de la maturité des poires. Vérifier le moelleux des petits morceaux avec la pointe d’un couteau).

Mélanger les deux compotes, incorporer 1 cuiller à café de gingembre frais râpé et une pointe de muscade (que vous pouvez remplacer au choix par de la cardamome ou de la cannelle) au premier bouillon ajouter le sucre à confiture et les sachets de gélifiant, poursuivre à petits bouillons en remuant pendant 5 minutes et mettre en bocaux stérilisés (Voir en juin : ma confiture sans sucre ou si peu)
A titre indicatif : pour 6 kg de compote cuite + 250 gr de miel + 400 gr de sucre à confiture(+ ou = suivant la douceur des poires) + 1 cuiller à café de gingembre frais râpé + 1 pointe de muscade(il ne faut surtout pas masquer le goût des fruits) + 5 sachets de gélifiant(Vitpris ou autres).
Comme toujours, A vous de voir.

mardi 11 septembre 2007

Confiture de raisins





Si comme moi Si comme moi vous avez du raisin sauvage ou une treille donnant des grappes en abondance, voici une recette un peu délicate mais qui donne des confitures originales et pleines de saveurs.
Laver les grappes de raisins entières dans de l’eau vinaigrée, conserver quelques belles grappes bien dorées pour la fin de cuisson, égrener les autres en ne conservant que les grains non tallés. Mettre dans la bassine et cuire environ 20 minutes en remuant de temps en temps. Le plus long dans cette recette est l’opération suivante : passer les grains de raisins cuits au moulin à légumes grille moyenne et refaire ensuite l’opération avec la grille fine afin d’éliminer le maximum de pépins et de peaux, la deuxième fois étant très rapide. Si vous prélever les grains avec une écumoire, une bonne partie des pépins restant déjà dans le fond de la bassine. Supprimer également les 2 ou 3 cm de jus très clair qui recouvrent le jus pulpeux à la fin de l’opération

Raisins/pommes/cannelle/clou de girofle :
chauffer le jus pulpeux et y ajouter les pommes (épluchées ou non) coupées en petits morceaux.cuire et à mi-cuisson écraser la moitié de celles-ci afin de lier la confiture et de garder quelques morceaux entiers, ajouter ensuite les grains de quelques grappes mises de coté. Saupoudrer de 2 cuillers à café de bicarbonate alimentaire et après quelques bouillons écumer la mousse en trop . Épicer le mélange avec 4 clous de Girofle et 1 cuiller à café de cannelle, mélanger et refaire quelques bouillons. Peser et ajouter 15 ou 20 % du poids en sucre : la confiture de raisins étant au départ assez liquide le sucre 3 pour 1 (Fruttina ou autre) est vraiment un atout pour cette recette, inclure en même temps 4 sachets de gélifiant (vitpris ou autre), prolonger la cuisson encore 5 minutes à petits bouillons et mettre en pots stérilisés.(Voir en juin : ma confiture sans sucre ou si peu)
A titre indicatif : 4 kilos de jus pulpeux + 1 kilo de pommes + 550 gr de sucre 3 pour 1 + 4 sachets de gélifiant(+ ou - 1 de plus qu’habituellement, les pommes faisant aussi effet de gélifiant).

Raisins/pommes/mûres :
Chauffer la bassine de jus pulpeux et y ajouter les pommes (500 gr épluchées ou non) coupées en petits morceaux. Cuire et à mi-cuisson écraser grossièrement la moitié de celles-ci afin de lier la confiture et de garder quelques morceaux entiers. Ajouter ensuite les grains de quelques grappes mises de coté. Saupoudrer de 2 cuillers à café de bicarbonate alimentaire et après quelques bouillons écumer la mousse en trop . Incorporer ensuite la compote de mûres(décongelée). Peser et ajouter 15 ou 20 % du poids en sucre : la confiture de raisins étant au départ assez liquide le sucre 3 pour 1 (Fruttina ou autre) est vraiment un atout pour cette recette, inclure en même temps les 4 sachets de gélifiant (Vitpris ou autres), prolonger la cuisson encore 5 minutes à petits bouillons et mettre en pots stérilisés(Voir en juin : ma confiture sans sucre ou si peu)
A titre indicatif : 6.500 kilos de préparation cuite(raisins/pommes/mûres)+ 1 kilo de sucre (soit pour 3 kilos de confiture) + 4 sachets de gélifiant, + ou - 1 de plus qu’habituellement, les pommes faisant aussi effet de gélifiant) la compote de mûres étant ma fin de récolte congelée, le mélange diffère suivant la quantité, environ 500 gr de compote de mûres cuites sans sucre suffisent pour une grosse bassine de réparation.

Comme toujours, A vous de voir

lundi 27 août 2007

Chou rouge aux pommes :



Cette recette vous permet d’utiliser le ½ chou rouge restant, quand vous avez fait l’autre moitié en salade. Mais vous pouvez aussi congeler en portions si vous le faites cuire entier.

Oter les premières feuilles généralement ternes, couper le chou en deux, enlever largement le trognon avec les parties blanches proches de celui-ci. Débiter ensuite en tranches pas trop épaisses (1 cm env.). Éplucher et couper 2 ou 4 pommes type « canada ou reinette » en quartiers.

Faire fondre 1 cuiller à café de graisse d’oie dans une sauteuse. Disposer les lanières de chou dans le fond de celle-ci, saler et parsemer de thym. Poser les quartiers de pommes par-dessus, et si vous avez de la cardamome en poudre saupoudrer un peu de celle-ci sur les pommes en remplacement du poivre d‘assaisonnement. Ajouter ensuite quelques lardons fumés(facultatif). Pour un chou entier, recommencer une nouvelle couche. Couvrir et faire mijoter tout doucement, mélanger à mi-cuisson et ajouter un filet d’eau si besoin. C'est cuit, quand les pommes sont dissoutes par la cuisson.

Cette recette accompagne très bien la viande blanche, le goût est assez doux pour plaire aux enfants, et vous pouvez marier également avec du riz.

Comme toujours, A vous de voir.

dimanche 26 août 2007

Confiture de tomates vertes



Cette année les rares tomates du jardin vont finir de cette façon !!! Comme je n’aime pas le citron dans les confitures, j’essaie toujours de le remplacer ou de le supprimer .

Laver, couper en petits en morceaux les tomates vertes, et faire «compoter sans sucre» dans la bassine à confiture. Pour ce faire, commencer la cuisson doucement sans ajouter d’eau, le jus des tomates suffit. Par contre, si la préparation obtenue est plus onctueuse et le goût mieux préservé, cette cuisson est un peu plus longue et il faut alors remuer constamment ; Cependant, pour raccourcir celle-ci, on peut dès que les plus petits morceaux sont cuits, soit passer les ¾ de la préparation au bol mixeur, soit broyer les plus gros morceaux au mixeur à soupe dans la bassine elle-même. Séparer ensuite cette préparation en deux et procéder au choix à :

La confiture classique :
Ajouter 1 pincée de bicarbonate alimentaire à 1.5 kg de préparation et continuer la cuisson quelques minutes jusqu’à disparition de la mousse. Incorporer ensuite 450 gr de sucre à confiture et 1 sachet de gélifiant «Vitpris ou autre», mélanger et terminer la cuisson «à petits bouillons» pendant 5 minutes, ceci donne alors une confiture à 30 % de sucre(sans citron). Mettre en bocaux stérilisés (Voir en juin : ma confiture sans sucre ou si peu)

La confiture tomates vertes/gingembre :
Râper finement la valeur d’½ à 1 cuiller à café de gingembre frais pour 2 kg de votre préparation (ajuster plus ou moins la quantité suivant votre goût mais faire attention que le gingembre ne masque pas le goût des tomates vertes, il doit juste relever celui-ci), prolonger un peu la cuisson en remuant. Ajouter ensuite 1 pincée de bicarbonate alimentaire, continuer la cuisson quelques minutes jusqu’à disparition de la mousse. Incorporer ensuite 300 gr de sucre à confiture + 1 sachet de gélifiant «Vitpris ou autre», mélanger et terminer la cuisson «à petits bouillons» pendant 5 minutes, ceci donne une confiture originale à 15 % de sucre. Mettre en bocaux stérilisés (Voir en juin : ma confiture sans sucre ou si peu)

Mon prochain essai, si les quelques tomates qui restent doivent subir le même sort, sera suivant le dernier «conseil de ma voisine» :
tomates vertes/oranges. Comme toujours, A vous de voir.

mercredi 22 août 2007

Glace minute à l'ananas



Si vous disposez d’un « Blender », ce type de mixeur avec un bol en inox ou en verre très épais, l’opération est vraiment des plus simple :



Prendre ½ bol de morceaux d’ananas congelés, les mettre dans le mixeur puis ajouter 1 grosse cuiller à soupe de crème fraîche allégée et si vous le désirez 1 cuiller à café d’aspartam (facultatif). Mixer le tout, (si les morceaux collent un peu aux lames quand vous doublez les quantités, mélanger 2 ou 3 fois au cours de l’opération). La glace finie se récupère facilement à l’aide d’une spatule en caoutchouc. Vous aurez ainsi la valeur d’1 généreuse portion de glace aux pépites d’ananas ou de 2 petites pour accompagner un dessert. Servir en petits ramequins recouverts de chantilly allégée suivant votre choix. C’est un excellent moyen pour ne pas «craquer» sur une glace pleine de sucre et d’en manger une portion goûteuse sans remord car :
c’est un « écart » bien géré. Comme toujours, A vous de voir.

mardi 21 août 2007

Confiture de prunes


Prunes/rhubarbe
Cette fois, je suis partie d’une recette «de ma voisine», sur son conseil j’ai réservé «de la rhubarbe pour les prunes», la récolte la plus abondante étant au moment des fraises. Suivant sa recette, pour que la rhubarbe perde naturellement de son acidité, il faut d’abord conserver les bâtons pendant deux jours au réfrigérateur avant de les préparer, c’est-ce que j’ai fait.

Après avoir lavé, épluché et coupé en petits tronçons les bâtons de rhubarbe, je les ai fait «compoter» 30 minutes sans sucre et congeler dans un récipient en verre ou inox couvert. (cette compote peut se faire à la machine à pain également)

Hier, j’ai cueilli les dernières prunes jaunes de la saison, dénoyautées, coupées en 2 une partie de celles-ci et l‘autre en 4 (ainsi dans la confiture finie quelques morceaux restent entiers) ensuite, je les ai cuites sans sucre en remuant pendant 30 minutes.

Mélanger la rhubarbe décongelée à la compote de prunes (à parts égales), ajouter 2 cuillers à café de bicarbonate alimentaire à cette préparation chaude. Mélanger puis quand la mousse a disparue, incorporer 15 % (du poids de cette compote) de sucre à confiture et 1 sachet de pectine par kilo entier (quand il s’agit de petites récoltes le poids final obtenu est souvent aux environs de 2.500 kg donc 2 sachets, comme toujours peser la bassine pleine et enlever le poids de celle-ci). Prolonger la cuisson de 5 minutes et remplir les pots stérilisés avec la confiture chaude. Obturer les ensuite avec la paraffine. Fermer les couvercles de ceux-ci lorsqu’elle est refroidie.

Au fil des années, les dernières confitures de prunes se transforment en essais : Prunes/amandes, prunes/noix, prunes/cannelle, prunes/vanille,
Comme toujours, A vous de voir.
(Voir en juin : ma confiture sans sucre ou si peu)

jeudi 16 août 2007

Confiture sauvage


Mûres/sureau/ pommes/poires
Mon plus grand plaisir, quand je fais des confitures c’est de les faire avec des fruits du jardin ou sauvages, mais hélas ils ne sont pas tous mûrs en même temps.

Cette année je n’avais pas beaucoup de sureau, et heureusement car il était trop en avance sur les mûres et c’est révélé un peu fort en goût. Je cherche toujours à faire des mélanges originaux car je fais des assortiments de différents pots et je les offre à ma famille pour Noël. Mon pommier avait besoin d’éclaircissement, mes poiriers aussi et quelques poires étaient déjà d’une belle couleur, mais pas vraiment mûres.

J’ai donc épluché 3 belles pommes et 3 belles poires, coupées en petits morceaux et fait « compoter » dans la bassine à confiture en remuant constamment et en ajoutant un peu d’eau au fur et à mesure du besoin pour parfaire la cuisson, c’est un peu long et délicat avec des fruits pas tout à fait mûrs. Quelques petits morceaux «juste cuits» ne sont pas désagréables dans le mélange final, A essayer!!!

Préparer les mûres et les baies de sureau (ne prendre que les baies bien brillantes, sinon le sureau a tendance à alcooliser dans une confiture peu sucrée), faire cuire environ 30 minutes, suivant le truc d’une amie quand je manque de temps : je fais pré-cuire ma récolte du jour le soir à la machine à pain(sans sucre) sur le programme / confiture 30 minutes seulement, et je conserve ensuite dans un saladier couvert au frigo(pas en plastique), le lendemain je l’ajoute à ma récolte cuite du jour, j’arrive ainsi à avoir 2 kilos de mûres et environ 500 gr de sureau «sans perte».

Mélanger la compote de pommes/poires et celle de mûres/sureau, faire chauffer et ajouter 2 cuillers à café de bicarbonade alimentaire, puis quand la mousse a disparue, les 15 % du poids de la compote en sucre à confiture (et plus ou moins) 1 sachet de pectine à partir du 2 ème kilo (comme toujours peser la bassine pleine et enlever le poids de celle-ci), finir la cuisson 5 minutes et mettre en pots stérilisés, obturer les avec de la parafine et fermer les couvercles quand celle-ci est refroidie.(précaution indispensable avec peu de sucre)

Pour exemple : j’avais 2.400 kg de mélange de fruits cuits auquel j’ai ajouté 3.60gr de sucre à confiture(avec pectine) et 1 ½ paquet de pectine type «Vitpris» . La compote de pommes adoucie le goût et améliore la tenue de la confiture, mais vous pouvez utiliser la même recette avec 20 ou 25% de sucre.

En plein hiver, ouvrir un pot du mélange des fruits que la nature vous a gracieusement donnée, vous récompense du travail fourni l’été. Comme toujours,A vous de voir
(Voir en juin : ma confiture sans sucre ou si peu)

jeudi 26 juillet 2007

Jambonneau et côtes de blettes





Toujours sur le toujours sur le principe de la viande cuite « 2 heures » doucement dans un bouillon de légumes (2 litres d’eau, 2 poireaux, 2 carottes, 1 navet, 1 « pétale» de fenouil + des aromates) j’ai essayé un jambonneau de porc, il était magnifique et en promotion. Pour 3,5O euros et un peu de patience, j’avais un repas que je pouvais préparer à l’avance.

Au jardin cette année, mes dix pieds de côtes de blettes, donnent à profusion, moi je les mange juste avec un peu de crème fraîche dans l’assiette, mais comme c’est la semaine « avec petits enfants », j’en ai fait un gratin à réchauffer au four. C’est idéal pour gagner du temps, et le soir un gratin : viande / légumes, c’est un repas toujours apprécié de tous.

Après les avoir épluchés et lavés, faire cuire au cuit-vapeur, les tronçons de côtes de blettes dans l’étage inférieur, et les verts dans l’étage supérieur, si au début le couvercle ne ferme pas parfaitement, mettre un poids dessus, car comme les épinards auquel ils ressemblent beaucoup, ils diminuent énormément de volume à la cuisson.

Dans un plat à gratin très peu huilé, disposer les verts de blettes cuits, puis les tronçons par-dessus, et ensuite les morceaux (ou émiettés au choix) de jambonneau que vous aurez dégraissés (si vous laissez le jambonneau tiédir dans le bouillon, vous l’ouvrez ensuite en 2, les morceaux se « cueillent » avec facilité), puis recouvrir de sauce blanche (½ litre du bouillon épaissie avec 4 cuillers à soupe rases de Maïzena), rectifier l’assaisonnement si nécessaire, parsemer de gruyère et mettre à gratiner au four, ou en attente au frigidaire.

Vous pouvez soit faire ¼ du plat sans sauce, mais l’opération n’est pas facile, soit vous réserver une ½ assiette de légumes, que vous passez au micro-ondes (1 mn thermostat 2) soit limiter la sauce dans votre assiette.

Comme toujours, bon appétit, A vous de voir.

mardi 24 juillet 2007

Salade et foies de volailles


Les foies de volailles sont peu utilisés, alors qu’en été ils font avec la salade une préparation digeste si elle est bien faite :

3 ou 4 foies de volailles par personne suffisent, les faire revenir doucement dans une poêle avec 1 c. à soupe de graisse d’oie de préférence à l’huile, pendant ce temps : laver et préparer une salade type feuilles de chêne ou mieux un mélange de deux couleurs, faire cuire 1 petit oeuf mollet (blanc dur/jaune mou) par personne. Quand les foies ont un aspect bien doré et croustillant sur toutes les faces, les assaisonner avec sel/poivre/thym/ail (s’assurer de la cuisson en coupant un foie pour la vérifier, ne pas trop prolonger celle-ci car ils seraient alors trop cuits et durs), couper ensuite le feu.

Disposer au milieu des assiettes la salade bien assaisonnée(persil/échalotes), une tomate coupée en quartier sur le pourtour de celle-ci, l’œuf mollet décentré(avec une petite cuiller il sera facile à écaler), et placer ensuite les foies de volailles sur la salade.

Ce plat réalisé avec un peu de soin est un régal pour le palais et les yeux, 3 ou 4 foies de volailles (les foies de poulets sont plus petits que ceux de dindes) par personne c’est la bonne quantité, inutile d’en prévoir plus car le plat se révélerait vite écœurant et perdrait toute la légèreté de la salade.

Mon conseil : en entrée : 1/2 melon, et faites suivre d’une waza fibre avec un fromage allégé et d’un yaourt au bifidus, et vous avez un repas copieux, rapide et complet, ou réduisez la quantité et vous avez une entrée pour bon mangeur!!!

Comme toujours, A vous de voir.

dimanche 22 juillet 2007

Omelette aux girolles (et autres)




Les girolles sont Les girolles sont des champignons un peu cher, mais si comme moi vous les préparez en omelette, 200 gr par personne suffisent. Leurs seul inconvénient reste le nettoyage qui doit être méticuleux, mais comme j’adore regarder les émissions de cuisine à la télévision, j’ai réussi a“piquer” le truc d’un chef pour faciliter cette opération.

Porter à ébullition un faitout à demi rempli d’eau additionnée de 2 c.s de gros sel. Pendant ce temps, couper les bouts terreux des girolles et enlever grossièrement les résidus d’humus. Préparer un saladier d’eau froide dans lequel vous ajouterez quelques glaçons à la dernière minute, ainsi qu’une écumoire afin de tout avoir sous la main. Plonger ensuite toutes les girolles dans l’eau bouillante, et remuer 5 fois(pas plus longtemps) pour faire tomber les poussières dans le fond du faitout, avec l’écumoire transvaser ensuite les girolles dans le saladier d’eau glacée(le choc thermique arrête le début de cuisson) égoutter de nouveau rapidement et les sécher dans une essoreuse à salade. Si ensuite il reste quelques poussières, vous les décollerez très facilement.

Faire revenir les girolles dans 1 c.s de graisse d’oie, (les girolles nettoyées de cette manière ne rendent pas ou très peu d’eau à la cuisson). Lorsqu’elles sont bien dorées, saler et poivrer, puis vérifier la cuisson à l’aide d’une pointe de couteau, lorsqu’elles sont cuites à point le couteau s’enfonce sans difficulté.

Pendant ce temps, battre les oeufs (2/personne) avec un peu de lait/sel/poivre, pour que l’omelette soit moelleuse il ne faut pas battre les oeufs trop longtemps. Verser les oeufs sur les champignons(girolles ou champignons de Paris/lardons suivant votre goût) replier plusieurs fois les bords de l’omelette sur elle-même lors de la cuisson et servir chaud.

N’hésiter pas a “jouer” avec la couleur, une omelette aux champignons précédée d’une salade de tomates/poivrons et servie avec une salade verte c’est un ravissement pour les yeux et le palais. Pour moi, j’emploie de gros champignons de paris que j’épluche, et j’en fais une poêlée en accompagnement.

J’ai essayé et aimé : le gain de temps, mais comme toujours,
A vous de voir.

vendredi 20 juillet 2007

Dinde ou poulet


Mais aussi toute la volaille que vous voulez faire cuire de cette façon, c’est toujours le principe du bouillon, avec la volaille vous obtenez de bons résultats avec des cubes de court-bouillon surgelé, la viande blanche cuit plus vite et prend plus facilement le goût de celui-ci. Les manchons de dinde appelés aussi “blanquette de dinde” sont généralement peu cher (il suffit de les apprêter après cuisson en supprimant la peau, les os et les veines, suivant photo), les hauts de cuisses de poulet n’ont généralement pas de veines, vous pouvez supprimer la peau avant la cuisson et les servir entier

Dans la cocotte minute (autocuiseur) mettre la volaille, ajouter l’eau et les cubes de court-bouillon surgelé (2 cubes par 1/2L) jusqu’à recouvrir la volaille, si vous le désirez ajouter un oignon piqué de 3 clous de girofle (facultatif), fermer la cocotte et au premier chuchotement de celle-ci baisser le feu au minimum, et oublier 1 heure pour la dinde, 40 mn pour le poulet si vous souhaitez servir les morceaux entiers. Vous pouvez faire cuire la volaille à l’avance, laisser refroidir dans son bouillon et réchauffer ensuite avant la préparation.

Dans une sauteuse ou un wook faire la sauce : 1/4 L de bouillon froid pour 2 c.soupe rases de Maïzena, que vous mélangez au fouet doucement sur le feu jusqu’à ébullition, rallongez (il faut que la sauce “nappe” la cuiller car elle épaissie ensuite toujours un peu) et rectifiez l’assaisonnement si nécessaire, si votre bouillon est chaud délayez toute la Maïzena avec un juste peu de lait froid et ajoutez le bouillon lentement en remuant hors du feu. Ajoutez 1 boîte de champignons de Paris (crème ou oeuf sont vraiment facultatifs si le bouillon a du goût), mettre ensuite les morceaux de volailles que vous avez désossés dans la sauteuse pour les réchauffer avant de servir (1 ou 2 c.s de sauce avec la volaille ne fait pas grossir, si le reste du repas est léger.)

Vous pouvez accompagner de riz basmati, haricots verts etc...,4 euros le plat de volaille!!! mais comme toujours, A vous de voir.

lundi 16 juillet 2007

graisses d’oie et de canard


J’avais entendu une information sur la cuisine à la graisse de canard, d’après le résultat de récentes études, elle serait recommandée. J’ai d’abord cherché si je pouvais m’en procurer, c’est relativement facile avec un peu de persévérance, on en trouve dans certains grands magasins au rayon frais, en pot comme les rillettes.

J’en ai donc acheté un pot pour essayer, et là!, non seulement un steak cuit avec de la graisse d’oie est doré et savoureux, mais pour se faire 1 cuiller à café suffit.(celle de canard bizarrement est plus difficile à trouver au rayon frais).

Je l’ai aussi utilisée pour toutes les autres viandes(même le rosbif, ou les pommes de terre que je cuisine pour “mes sportifs”), avec autant de succès, je l’ai adopté désormais car il en faut peu, et je trouve plus facile de respecter les doses qu’avec une bouteille d’huile, (moi, j’ai abandonné la margarine pour la cuisine depuis que j’en connaît la composition).

J’ai recherché une explication plus précise pour faire cet article, même si les termes en sont un peu techniques :
- La graisse d'oie et de canard présente des vertus longtemps insoupçonnées, qui la rendent aussi bonne pour la santé que l'huile d'olive. Les produits d'oies et de canards ont en effet une teneur élevée d'acides gras poly-insaturés et d'acides oléiques, protecteurs de l'organisme, à l'inverse des graisses de porc et d'animaux de boucherie, très riches en acides saturés.
(Les irréductibles du saindoux et de la graisse de bœuf vont en vouloir au gens du Sud-ouest, mais ces derniers ont moins de problèmes cardio-vasculaire c’est prouvé!)

Je vous en conseille l’essai, mais comme toujours, A vous de voir.

dimanche 15 juillet 2007

Gérer les écarts

Dans un même repas si vous mélangez les index glycémiques à - 50 avec ceux à + 50, votre corps pratique une moyenne à la digestion. Ex : le midi = des haricots verts avec une petite p-d-terre vapeur (la grosseur d‘un oeuf), passe encore, mais si en plus vous ajoutez des carottes cuites“ouille”!!! et pourtant pour vous c’est régime, mais les index glycémiques ne marchent pas à la quantité, mais à la transformation des aliments lors de la digestion. Si toutes fois vous ne renouvelez pas la même chose au repas du soir, il se peut que cela n’est pas d’influence sur votre appétit, mais il se peut aussi qu’au repas du soir vous ayez + faim que d’habitude sans savoir pourquoi.

Une règle paraît dès lors évidente :
Si vous devez faire un écart : gérez celui-ci, préférez le faire au repas, il sera moins important car vous aurez moins faim, et surtout essayez de ne pas le renouveler au repas suivant!!! Un écart bien géré est un écart isolé.

Difficile de vivre sans écart, pourtant après une période d’adaptation sans sucre, les goûts changent, votre corps ne réclame plus de sucre ajouté, il puisse son énergie dans la graisse qu’il a stocké, c’est l’état de “cétose” (terme médical,le plus rapproché), c’est ce nouvel équilibre que vous risquez de perdre avec des écarts trop répétitifs.

Comparez-vous avec un fumeur qui cesse de fumer, combien y arrive en conservant 1 cigarette par jour, combien de temps met-il avant d’en reprendre 2, puis 3. Et pourtant il y en a qui résiste. Il faut trouver la bonne dose, celle qui vous permet de vivre sans frustration, mais qui ne met pas en danger votre nouvel équilibre.

Mais, nous avons un allier de haut niveau : Le sport, il nous permet de dépenser + de calories, et “de remettre les pendules à l’heure”, car avec du sport, le corps devra fournir plus d’énergie “il déstocke”. Là aussi, même si vous n’êtes pas adeptes, il vient un moment où vous trouvez votre propre rythme, et ce ne sera plus une obligation mais un plaisir. Parfois au bout de 2 ou 3 jours “sans”, cela vous manque, et vous avez envie de bouger, n’hésitez pas, n’importe lequel, celui que vous aimez, si vous n’avez pas le temps : montez des escaliers, sautez à la corde, faites un “vrai” match de ballon avec les enfants etc... (10 minutes intensives tous les jours peuvent remplacer 30 minutes plus douces 2 ou 3 fois par semaines).

Comme toujours, A vous de voir.
(article 3/3)

vendredi 13 juillet 2007

Mon point de départ : Montignac

J’avais trouvé dans une brocante un livre de la méthode Montignac, il parlait des Index Glycémiques des aliments, j’ai dévoré “le livre”, par contre je n’ai rien compris à la méthode, mais j’avais une piste, je l’ai dès lors approfondie par d’autres lectures, j’ai édité sa liste des index glycémiques (il y en a d’autres), j’ai fait le rapprochement avec ma nourriture, et j’ai essayé comme indiqué de supprimer :
1/ le blanc : les pommes de terre ont un IG élevé, c’était nouveau pour moi !!!,le riz blanc sauf le basmati !!! mais aussi le carottes cuites!!! je les mange désormais crues et râpées en entrées.
2/ le raffiné : le remplacer par des aliments complets, les quantités sont plus petites pour la même satisfaction(l’écorce des céréales ralenti à la digestion le passage du sucre dans le sang)Votre famille n’aime pas faites-en cuire 4 parts, congelé en 3 que vous sortirez au fur et à mesure de vos besoins.
3/le gras et le sucré : Et voilà, nous y sommes : les aliments industriels tel que les plats préparés, les petits gâteaux : lire la composition de ceux-ci vous aide à comprendre pourquoi,
4/ les fritures : les frites, les chips, les panures, etc...

En creusant un petit peu le sujet pour l‘adapter :

Le petit déjeuner : Pour tenir jusqu’au repas du midi, et ne pas avoir de baisse d’énergie à 11 H, trouvez celui qui vous convient le mieux. Si vous mangez du pain complet pourquoi pas prendre la ration du jour au p’it déj’. Si vous optez pour des céréales prenez les complètes et sans sucre(les bonnes pour la santé ne font généralement pas partie des “pub”, les préférer bio si vous pouvez) Si vous n’avez pas faim le matin, prévoyez quelques choses pour la matinée afin de ne pas vous jetez sur le repas du midi(une tranche de jambon, une pomme, des noix, etc... mais surtout pas une barre de céréales sucrées!!!)

Commencer vos repas par des crudités, elles allongent celui-ci, le point de satiété n’est ressenti qu’après 20 minutes .
Vous ne pouvez vous passer de sauce : faites-la sans farine, ajoutez de la moutarde à l’ancienne, réduisez sa consommation juste avec la viande. Les légumes vapeur : ajoutez de la crème épaisse à 15 % dans votre assiette, 1 cuiller à soupe donne souvent plus de satisfaction qu’une noisette de beurre, vous avez peur d‘avoir faim ajoutez leurs : 2 ou 3 c.s de riz complet, il se marie avec presque tout. N’oubliez ni les céréales, ni les féculents. Vous ne pouvez vous passez de fromage : dans un premier temps essayez-les allégés en portions tartinés sur une waza fibre par exemple. Un yaourt et un fruit comble mieux qu’un yaourt aux fruits.

Commencer par 2 semaines , posez-vous les bonnes questions, si cela vous convient, vous trouverez après seul comment accorder cette alimentation à votre style de vie.

Un truc cependant : toujours avoir de quoi manger “équilibré”dans son frigo, ses placards, ou son congélateur(des légumes en sachets vapeurs à passer au micro-ondes 6 mn, du riz complet, etc... pour ne plus avoir l’excuse de la fatigue le soir) penser à votre repas avant de penser à celui de votre famille et “articuler” autour de celui-ci, cela deviendra vite un réflexe.

Cette fois-ci, A vous d’essayer.
(article 2/3)

et vous pouvez-vous répondre

Hier matin, dans la voiture, en écoutant “France inter”, nous sommes “tombés” sur un débat entre deux médecins, le Dr Cohen nutritionniste(vu à la télé) et un autre médecin adepte de la macro-nutrition. Bien sûr chacun reste et restera sur ses positions, mais s’il ressort quelque chose de ce débat et que j’ai retenu c’est ceci :

Pour qu’un régime réussisse, il faut d’abord se poser les questions suivantes :

Pourquoi je veux maigrir ? la réussite dépend souvent de cette question.

Qu’est-ce qui m’a fait grossir ? est-ce un problème alimentaire et si s’en est un,

Suis-je prêt à changer d’alimentation ? une fois que vous avez maigri, si vous reprenez les mêmes habitudes alimentaires qu’autrefois, votre corps se souvient et il reprend lui aussi ses habitudes. Une chose est évidente, tous les régimes marchent, mais si vous faites les mêmes erreurs, vous aurez le même résultat à plus ou moins long terme

Ce matin, à “Télé matin“, le même médecin : juste cette phrase à retenir du reportage: Avez-vous remarqué ? qu’avec un repas structuré, vous n’avez pas faim entre les repas, et qu’ainsi vous évitez les “compulsions alimentaires”.

J’ai alors répondu, moi aussi à ces 3 questions :
Pourquoi j’avais voulu maigrir :
1/ parce que je souffrais trop d’avoir toujours faim entre les repas,
2/ la culpabilité après avoir mangé un gâteau était plus grande que le plaisir obtenu,

Qu’est-ce qui me faisait grossir :
1/ même avec un repas contenant du pain ou des pommes de terre, j’avais faim 2 heures après celui-ci,
2/la quantité des aliments n’avait pas non plus d’importance, je mangeais quelques fois moins sans ressentir cette faim.

Ai-je changé d’alimentation :
1/ Oui, le dernier régime à 1100 calories/jour, s’il avait été efficace pendant 6 mois, était vraiment difficile à vivre en famille, petit à petit, j’avais déjà repris la moitié des kilos perdus, par contre il vous apprend comment choisir les aliments les moins caloriques pour combler votre appétit et aussi à manger des légumes.

Voilà pourquoi, maintenant, je trouve plus facile de ne pas faire d’écart et de trouver une nouvelle façon de m’alimenter. Le problème avec les écarts c’est qu’ils en appellent d’autres, vous faites parvenir à votre corps de fausses informations, au lieu de changer radicalement vos goûts et d’en trouver d’autres pour ne plus manger ce qui vous faisait grossir, vous en garder le souvenir comme d’une nourriture récompense.

Entendu, et résumé pour vous, mais comme toujours, A vous de voir.
(article 1/3)

mercredi 11 juillet 2007

confiture d'abricots

Les abricots, cette année je les trouvais vraiment trop chers et plutôt farineux, sauf que là : ils étaient “pour confiture” et avaient une belle peau rougeâtre, malheureusement ils avaient dû “prendre la grêle” et la belle peau présentait quelques taches donc ils étaient déclassés et à moitié prix. Ils avaient l’air tout dodus et mûrs à point. Ils ont tenus leurs promesses, mais comme j’en avais juste 3 kilos, je les ai fait en confiture, afin de m’en souvenir tout l’hiver :

J’ai découvert une nouveauté chez Ancel, “Fruttina super”, le sucre gélifiant 3 pour 1 : 500 gr de sucre pour 1,5 kg de fruits. Les abricots étant un peu acide à la cuisson, la confiture avec seulement 10% de sucre ce n’est pas toujours suffisant . J’ai donc trouvé l’essai de ce sucre assez judicieux.

2,5 kg d’abricots coupés en 4, il est recommandé de les faire en purée, je les ai donc fait cuire 10 minutes avec 1/2 verre d’eau en remuant constamment , j’ai incorporé le paquet de 500 gr de sucre 3 pour 1 + 1 sachet de gélifiant et poursuivi la cuisson sans cesser de remuer pendant 3 minutes comme indiqué, puis ajouté 1 pincée de bicarbonate alimentaire en remuant, écumé ensuite le trop plein de mousse, le reste a disparu après 2 ou 3 bouillons. J’ai ainsi obtenu une confiture à 25 % de sucre, d’un bel orange clair, (il est recommandé la même stérilisation des bocaux que j‘emploie, voir “ma confiture sans sucre ou si peu”), en 1 heure mes 6 pots de confiture étaient fermés et prêts pour refroidir.

Le 7 ème, à demi-plein je l’ai mis au frigo et j’ai goûté le résultat le lendemain matin. La confiture est ferme sans l’être trop, le goût n’est pas trop sucré sans être acide, pour la conservation pendant 2 ou 3 ans, je ne sais pas encore!!!, mais j’adopte, tout au moins, cette année pour les fruits à venir.

Ce n’est pas de la “pub”,la marque n’est pas obligatoire, on doit trouver l’équivalence dans une autre ,(j‘en ai vu une autre 500 gr pour 1 kg de fruits) , enfin bannie l’idée qu’il faut toujours 1 kg de sucre pour 1 kg de fruits, j’essaie d’abord et si j’aime bien je vous donne ma recette, mais comme toujours,
A vous de voir.