dimanche 30 septembre 2007

Les rides et nous

Et votre cou !!!, 2 ou 3 fois par semaine quand vous mettez de la crème hydratante sur votre visage, n’oubliez pas votre cou et descendez un peu sur votre gorge au moins 1 fois par semaine. C’est au cou que l’on pense le moins, mais il ride aussi, prenez en soin!!! (j’applique ce principe depuis 20 ans, j‘apprécie le résultat de mes efforts)

En faisant des recherches sur le Net, j’ai trouvé ces deux articles : je les aime bien et vous ?

1/Le palmarès des aliments antirides
Quelles que soient les ethnies, les aliments les plus protecteurs contre le vieillissement de la peau sont : les oeufs, les yaourts, les légumineuses, les légumes (en l'occurrence ceux à feuilles vertes comme les épinards, les aubergines, les asperges, le céleri, l'oignon et l'ail), les noix, les olives, les cerises, le raisin, le melon, les fruits secs, les pommes et les poires, le pain aux céréales, le jambon, le thé et l'eau, qui sont tous associés à un moindre vieillissement cutané. Cet effet n'est pas lié au hasard : les fruits, les légumes et le thé, constituent des sources majeures de polyphénols qui sont des antioxydants encore plus puissants que la vitamine C et E, connus pour prévenir la peroxydation induite par les UV. In vitro, les composés procyanidiques du raisin ont démontré des effets anti vieillissement cutané et on a récemment identifié les pruneaux, les fraises, les baies et le thé parmi les aliments les plus antioxydants. Enfin, l'effet protecteur des légumes est sans doute aussi lié à leur contenu en phytoestrogènes antioxydants.
Reste évidemment à confirmer ces résultats préliminaires par des études d'intervention pour vérifier si l'alimentation peut effectivement ralentir le vieillissement de la peau. En attendant, sans sacrifier au culte du jeunisme, on peut toujours espérer garder une meilleure mine en consommant des fruits, des légumes, frais et secs, de l'huile d'olive et en buvant du thé...


2/Une influence évidente
Principaux résultats : les sujets les moins ridés consomment le plus de fruits et légumes, d'huile d'olive, de poisson et de légumineuses (après ajustement sur l'âge et le tabagisme qui influencent le vieillissement cutané). A l'inverse, l'importance des rides est positivement corrélée avec une consommation élevée de viande rouge (spécialement sous forme de charcuterie), de sucreries (sodas, pâtisseries, glaces), de pommes de terre et de produits laitiers entiers.

Lu pour vous, mais comme toujours, A vous de voir.

mercredi 26 septembre 2007

Betterave rouge râpée




Dans mes essais de recettes pour diversifier mes crudités, puisque c'est encore la meilleure façon de commencer un repas :



(2 cuillers à soupe d’huile d’olive ou de colza par jour étant indispensables pour l’équilibre des oméga 3 et 6). J’ai essayé la betterave rouge crue. Il suffit de l’éplucher, la râper comme des carottes et d’en faire une salade. C’est une entrée d’une belle couleur rouge, et au goût très doux. Si vous avez l’occasion de trouver sur le marché des betteraves rouges non cuites, faites l’essai vous ne serez pas déçu.
Comme toujours. A vous de voir.

mardi 25 septembre 2007

Lit d'oignons



Recette pour une nouvelle amie et sa cocotte-saveur.

Non, le saumon n’est pas sec! Au four : la saveur sans l'odeur!!!

Je le cuis sur un lit d’oignons,

4 ou 5 oignons coupés en tranches, disposés dans le fond du plat sur un filet d’huile d’olive. Poser le morceau de poisson dessus, assaisonner, couvrir et enfourner. A titre indicatif : pendant 45 mn environ à 180°, mais cela dépend de votre source de chaleur. Ajouter un ½ verre d’eau ou de vin blanc à mi-cuisson si nécessaire. Servir ensuite cette compote d’oignons sur les parts de saumon ou agrémentée d’1 cuiller à soupe de crème allégée, suivant les goûts.

Cette fois, c’était un morceau de saumon surgelé, j’ai fait cuire les légumes en même temps, et j’ai ajouté de l’oseille. Un « lit d’oignons » et du poisson : saumon ou autres, filet, entier ou morceau!!!
Comme toujours, A vous de voir.

lundi 24 septembre 2007

Petit + avant l'hiver

J'ai fini de lire : La vérité si je mange!, du Dr Didier CHOS (résumé disponible sur le Net) ce livre rentre tout à fait dans les principes alimentaires auxquels je crois de plus en plus. En gros, même notre humeur pourrait, je dis bien pourrait dépendre de notre nourriture. Un manque de magnésium, un déséquilibre en potassium, etc... Et ne cherchez pas plus loin, pourquoi, vous vous sentez irritable et sans moral.

Ne jamais oublier, chaque jour, la pyramide de l'alimentation équilibrée et de boire 1.5 litre d'eau (très minéralisée en cas de fatigue), et pas toujours la même marque. Pour mémoire (en portion) = 5 fruits et légumes, = 4 céréales et légumineuses, = 3 produits laitiers, = 2 viandes ou poissons ou œufs, = 1,5 L d’eau.

J'avais pendant une période un peu trop supprimé les féculents, car je n’en avais plus besoin pour combler ma faim, or ils ne servent pas qu'à cela. L’association des 3 sources de protéines : animales, céréales, légumineuses, est indispensable pour l’harmonie du fonctionnement des trois neuromédiateurs, un déséquilibre en entraîne d’autres. Le livre faisant 300 pages, mon explication est vraiment des plus simplifiée.

J’aime bien son chapitre : Testez-vous, et quand il rappelle qu’Hippocrate disait déjà : « Que l’aliment soit ton premier médicament » 400 ans avant notre ère quand même!!!

Depuis 15 jours,je respecte à nouveau les 5/4/3/2/1 de la pyramide, et j’ai repris une cure des compléments qui me conviennent, j’ai un regain d’énergie. Avant l’hiver, c’est un + appréciable, cette petite remise au point est à la portée de tous ceux qui écoutent un peu leur corps. Mais comme toujours, A vous de voir.

mardi 18 septembre 2007

Autour d'une poule


Nouvel essai dans les mélanges de viandes cuites au bouillon. Il est toujours dommage de faire un bouillon bien aromatisé et de ne pas en profiter pleinement.

Une poule au bouillon s’accompagne généralement des légumes, mais aussi souvent de riz et d’une sauce blanche avec des champignons. Cuire en même temps un jambonneau ½ sel (préalablement rincé). Cela vous permet non seulement de donner du goût à votre bouillon (dégraissé vous l’utilisez pour faire cette sauce blanche), mais si vous avez quelques restes de poule, de les utiliser ensuite en les mélangeant.

Prélever la chair du jambonneau cuit, mixer celle-ci et les restes de chair de poule, un peu d’ail, de persil, du poivre mais pas de sel.
Dans une sauteuse ou un Wook, faire revenir 2 oignons coupés en petits carrés, ajouter 100 gr de boeuf haché (la quantité varie suivant la grosseur du jambonneau) et quelques lardons fumés (facultatif). Quand les oignons et la viande sont dorés, ajouter 2 boîtes de tomates en cubes et 1 du bouillon dégraissé, quelques feuilles de basilic et une dizaine de brins de ciboulette cisaillés, une branche de thym, du paprika doux, poivrer et saler légèrement, rallonger avec ½ boîte du bouillon (suivant la recette que vous choisirez) et laisser mijoter couvert doucement pendant 20 minutes. Il faut respecter ce temps pour que la sauce ait du goût. Incorporer le mélange jambonneau/poule, remuer et poursuivre la cuisson encore 5 minutes.

Vous avez maintenant une base originale pour :

Des lasagnes ou un gratin de pommes de terre : une couche de lasagnes ou de pommes de terre, 2 louches de mélange, 5 ou 6 tranches de mozzarella (selon la dimension de votre plat), renouveler par couches et finir en recouvrant de gruyère.

Un gratin de courgettes : une couche de courgettes, ajouter du riz ou du Ebly pour absorber le jus, égoutter un peu la préparation sauce/viandes, la mozzarella devient facultative si vous voulez allégé le plat. Ce plat se congèle aussi en part individuelle.

Et si vous profitiez du four, pour cuire en même temps une compote de pommes et coings pour le dessert!!!
Comme toujours, A vous de voir.

dimanche 16 septembre 2007

Compote pommes et coings aux épices


C’est la saison des récoltes, les compotes de fruits vont être de nouveau sur nos tables. J’ai essayé un mélange original avec les premières pommes et quelques coings.

Éplucher la valeur de 3 kilos de pommes pour 1 kilo de coings, les couper séparément en petits morceaux. Disposer en premier les coings dans un récipient avec couvercle ainsi qu’¼ l. d’eau, puis les pommes par-dessus. Au choix, faire compoter doucement sur une source de chaleur, ou mettre au four. A mi-cuisson mélanger et ajouter de l’eau si besoin(suivant la variété de pommes), 1 cuiller à café de cannelle et 1 pincée de cardamome. Ce pourcentage de pommes permet de faire de la compote sans sucre ajouté, la cardamome donnant un goût épicé on ne l’utilise que par pincée comme le poivre. Cette compote se conserve plusieurs jours au frigo ou se congèle très bien en part individuelle
Comme toujours, A vous de voir.

samedi 15 septembre 2007

Confiture de pêches et poires épicée


Une charmante voisine m’a fait un précieux cadeau : un seau de petites pêches blanches pour mes confitures, malheureusement cette année, elles se sont révélées un peu fade après cuisson. Ici, par manque de soleil, elles n’avaient hélas! plus beaucoup de goût une fois cuites.

J’avais donc une demie bassine de compote de pêches un peu dévevante. J’ai ressorti mon livre des confitures pour trouver, quel autre fruit de saison, je pourrai bien mélanger pour en relever le goût. Des poires !!! Là : pas de problème, le verger étant très généreux avec ce fruit cette saison. J’ai donc recueilli un seau de poires afin d’avoir la même quantité de compote.

Pêches/poires/miel/gingembre/muscade

Éplucher
et couper les pêches en morceaux. Faire compoter sans sucre pendant 15 à 20 minutes en remuant constamment au début.
Éplucher et couper les poires en morceaux . Faire compoter doucement et à mi-cuisson, ajouter 250 gr de miel, poursuivre jusqu’à la fin de celle-ci en remuant afin que les morceaux s‘enrobent de sa saveur (le temps de cuisson dépend de la maturité des poires. Vérifier le moelleux des petits morceaux avec la pointe d’un couteau).

Mélanger les deux compotes, incorporer 1 cuiller à café de gingembre frais râpé et une pointe de muscade (que vous pouvez remplacer au choix par de la cardamome ou de la cannelle) au premier bouillon ajouter le sucre à confiture et les sachets de gélifiant, poursuivre à petits bouillons en remuant pendant 5 minutes et mettre en bocaux stérilisés (Voir en juin : ma confiture sans sucre ou si peu)
A titre indicatif : pour 6 kg de compote cuite + 250 gr de miel + 400 gr de sucre à confiture(+ ou = suivant la douceur des poires) + 1 cuiller à café de gingembre frais râpé + 1 pointe de muscade(il ne faut surtout pas masquer le goût des fruits) + 5 sachets de gélifiant(Vitpris ou autres).
Comme toujours, A vous de voir.

mardi 11 septembre 2007

Confiture de raisins





Si comme moi Si comme moi vous avez du raisin sauvage ou une treille donnant des grappes en abondance, voici une recette un peu délicate mais qui donne des confitures originales et pleines de saveurs.
Laver les grappes de raisins entières dans de l’eau vinaigrée, conserver quelques belles grappes bien dorées pour la fin de cuisson, égrener les autres en ne conservant que les grains non tallés. Mettre dans la bassine et cuire environ 20 minutes en remuant de temps en temps. Le plus long dans cette recette est l’opération suivante : passer les grains de raisins cuits au moulin à légumes grille moyenne et refaire ensuite l’opération avec la grille fine afin d’éliminer le maximum de pépins et de peaux, la deuxième fois étant très rapide. Si vous prélever les grains avec une écumoire, une bonne partie des pépins restant déjà dans le fond de la bassine. Supprimer également les 2 ou 3 cm de jus très clair qui recouvrent le jus pulpeux à la fin de l’opération

Raisins/pommes/cannelle/clou de girofle :
chauffer le jus pulpeux et y ajouter les pommes (épluchées ou non) coupées en petits morceaux.cuire et à mi-cuisson écraser la moitié de celles-ci afin de lier la confiture et de garder quelques morceaux entiers, ajouter ensuite les grains de quelques grappes mises de coté. Saupoudrer de 2 cuillers à café de bicarbonate alimentaire et après quelques bouillons écumer la mousse en trop . Épicer le mélange avec 4 clous de Girofle et 1 cuiller à café de cannelle, mélanger et refaire quelques bouillons. Peser et ajouter 15 ou 20 % du poids en sucre : la confiture de raisins étant au départ assez liquide le sucre 3 pour 1 (Fruttina ou autre) est vraiment un atout pour cette recette, inclure en même temps 4 sachets de gélifiant (vitpris ou autre), prolonger la cuisson encore 5 minutes à petits bouillons et mettre en pots stérilisés.(Voir en juin : ma confiture sans sucre ou si peu)
A titre indicatif : 4 kilos de jus pulpeux + 1 kilo de pommes + 550 gr de sucre 3 pour 1 + 4 sachets de gélifiant(+ ou - 1 de plus qu’habituellement, les pommes faisant aussi effet de gélifiant).

Raisins/pommes/mûres :
Chauffer la bassine de jus pulpeux et y ajouter les pommes (500 gr épluchées ou non) coupées en petits morceaux. Cuire et à mi-cuisson écraser grossièrement la moitié de celles-ci afin de lier la confiture et de garder quelques morceaux entiers. Ajouter ensuite les grains de quelques grappes mises de coté. Saupoudrer de 2 cuillers à café de bicarbonate alimentaire et après quelques bouillons écumer la mousse en trop . Incorporer ensuite la compote de mûres(décongelée). Peser et ajouter 15 ou 20 % du poids en sucre : la confiture de raisins étant au départ assez liquide le sucre 3 pour 1 (Fruttina ou autre) est vraiment un atout pour cette recette, inclure en même temps les 4 sachets de gélifiant (Vitpris ou autres), prolonger la cuisson encore 5 minutes à petits bouillons et mettre en pots stérilisés(Voir en juin : ma confiture sans sucre ou si peu)
A titre indicatif : 6.500 kilos de préparation cuite(raisins/pommes/mûres)+ 1 kilo de sucre (soit pour 3 kilos de confiture) + 4 sachets de gélifiant, + ou - 1 de plus qu’habituellement, les pommes faisant aussi effet de gélifiant) la compote de mûres étant ma fin de récolte congelée, le mélange diffère suivant la quantité, environ 500 gr de compote de mûres cuites sans sucre suffisent pour une grosse bassine de réparation.

Comme toujours, A vous de voir